lundi 7 décembre 2009

Noir, impairs et manques !

Pornichet n'aura bientôt plus de casino. Incapable de se hisser à la hauteur des enjeux, le maire de Pornichet ne parvient pas à définir une stratégie pour conserver le premier employeur privé de la commune et son premier contribuable. Le compte-à-rebours final (?) est déclenché, pour le plus grand plaisir de La Baule.

Qu'il est loin le temps où le casino pornichétin damait le pion de son concurrent baulois. Depuis deux ans, l'établissement de jeux du boulevard des Océanides voit ses indicateurs virer au rouge. Recul des entrées, recul du produit brut des jeux, recul de la rentabilité. Dans cette économie singulière, l'innovation est vitale mais les atermoiements du maire de Pornichet empêchent toute stratégie de développement au grand dam des salariés et des contribuables.

Roulette russe

Noir, comme semble l'être l'avenir du casino pornichétin avec un maire incapable de percevoir le danger d'une rétrogradation voire d'une disparition de l'historique établissement du remblai. Entre une campagne électorale poujadiste, des volte-faces incessantes durant l'été 2008 et une incapacité à comprendre les tenants et aboutissants de l'économie casinotière, le maire de Pornichet semble inapte à définir une stratégie communale pour cet équipement majeur.

Impairs, comme les erreurs que multiplient Sa Suffisance, empourprée d'un égotisme pathologique. Robert Belliot observe sans réagir les recettes fiscales de la commune s'effondrer de 600.000 € en 2009 en raison des difficultés du casino (source : casinoweb). Comment oublier que les taxes versées par le casino à la mairie dépassent l'autofinancement dégagé par le budget communal. Sans les taxes du casino, le contribuable devra accepter environ 20% d'augmentation des impôts locaux pour maintenir les ressources de la commune. Face à un tel contexte, nombre de municipalités prépareraient une stratégie de renouveau de leur casino... pas Pornichet.

Sa Suffisance, interrogée par l'opposition en séance du conseil municipal, début novembre, sur sa vision stratégique du devenir du casino, a une nouvelle balbutiée des formules dilatoires sans cacher l'incurie de sa réflexion.

Bouger pour ne pas mourir

Légalisation du jeu en ligne, investissement massif des opérateurs de jeux sur le Web, recul de l'activité des casinos "en dur", fragilité financière des principaux opérateurs sur le marché français... le secteur, après 15 ans de croissance annuelle souvent à deux chiffres, est confronté à sa première crise de croissance. Le groupe Partouche, propriétaire du casino de Pornichet, un casino récemment encore dans le top 20 français, a signé, fin octobre, avec un pool bancaire, un rééchelonnement de sa dette comportant une clause sibylline précisant que le groupe devra engager "un processus de cession d'actifs", en clair vendre les bijoux de famille.

Le 8 octobre dernier, sur les ondes d'Europe 1, Patrick Partouche, le PDG du groupe propriétaire du casino de Pornichet expliquait sa vision stratégique de l'activité des casinos cette prochaine décennie.

Il soulignait que "les gros casinos qui ont une offre d'animation, une offre de spectacles, une offre de restauration, qui sont des lieux de divertissement pour adultes, marchent, ils subissent la crise mais ont une cohérence, une légitimité. Par contre je suis très pessimiste pour les petits casinos qui n'ont de seule existence que les machines à sous. Pourquoi y aller ?" s'est-il demandé en conclusion.

Cession d'actifs, limitation de la capacité d'investissements, fragilité financière du Groupe Partouche d'ici 2015, priorité donné aux casinos en ligne et baisse, depuis plus de 2 ans, des résultats du Casino de Pornichet, la situation est inquiétante pour notre commune et son casino, incapable de trouver un nouveau souffle dans un site très contraint.

Le projet Hippocampe avait pris en compte l'absolue nécessité de permettre l'émergence d'un casino de nouvelle génération pour Pornichet. Sa Suffisance a, d'un revers de main, balayé cette solution préférant des jardins dormants à des salariés bien vivants. Il n'est pas encore trop tard.

Le contrat liant la Ville de Pornichet à son casino expire en 2015. 4 ans sont nécessaires pour lancer un nouveau marché incluant la construction à la charge du casinotier d'un nouvel établissement. Vu l'absence de compréhension des enjeux par le maire de Pornichet, le temps est maintenant compté. Le plus difficile sera à présent de trouver un site d'implantation pour un établissement de jeux et de loisirs de nouvelle génération. Le PLU, qui vient d'essuyer un avis défavorable du commissaire-enquêteur, avait pris soin de bloquer les rares sites potentiellement pertinents. Espérons que la nouvelle version que Robert Belliot devra écrire de gré ou de force proposera une vision plus intelligente.

Désintérêt de l'activité du casino, incompréhension des fondamentaux de l'économie du jeu, populisme... tout est réuni pour que Robert Belliot soit le fossoyeur du casino. Comment expliquer ce désintérêt ? Manque de courage politique après avoir avec légèreté promis durant la campagne électorale que le casino ne changerait pas de site ? Probablement. Incompétence face à un secteur économique complexe ? Surement. Deal avec La Baule pour faire du casino Barrière le seul établissement de la baie ? Peut-être.


21 commentaires:

Anonyme a dit…

je me demande si robert n'appartient pas à une secte tel que les témoins de jehova, l'église de scientologie ou autre...un mouvement qui serait contre tous plaisirs personnels tel le jeu (casino), les sorties entre amis autour d'un verre (quartier gare) et tant d'autres choses. il détruit tous lieux de rencontre et d'échange. même le conseil municipal est une dictature.
peut être a t'il un problème avec le jeu ou l'alcool? qui sait?

lefacteur a dit…

D'après une source bien informée, il est confirmé que des "supporters inconditionnels" de r.belliot commencent à s'inquiéter sérieusement de la situation financière de la commune de Pornichet.
Ces dernières infos sur le casino, ne font que confirmer cet état de fait.
Malheureux pornichetins, vous avaez quelques soucis à vous faire pour les jours à venir, surtout si la gestion du dossier du casino est aussi catastrophique que celle du PLU qui devait apporter à la ville un nouveau souffle.
A moins que le prochain débat d'orientations budgétaires, et le budget 2010 ne viennent contredire les oiseaux de mauvaise augure que nous sommes. Mais celà m'étonnerait beaucoup....

zorbec le gras a dit…

Mais si, Le Poulpe, il est déjà trop tard. C'est ainsi, les choix opérés par Monsieur le Maire et sa clique, au minimum composée d'incapables et au maximum d'irresponsables (choisissez) ont mis la ville sur les rails de l'échec et de la ruine.
Les flux dans le domaine des collectivités sont lents. Entre les choix et leurs impacts, il peut se passer des années. Le temps peut être, et même surement, de laisser une belle ardoise et des surcouts de fonctionnement qui pomperont durablement les ressources de la ville qui vont aller en s'amenuisant: Baisse des ressources du casino, consommation anticipée du fond de compensation de la TVA (merci Lambert), puis disparition de celui ci par absence de projets, baisse de l'attractivité de la ville, baisse du potentiel d'équipements stucturants....Le tout conjugué à une hausse des charges fixes. Pas besoin de faire un dessin. Dans un premier temps on fera appel à l'endettement pour entretenir l'illusion, puis viendra le temps de la vérité et il faudra augmenter significativement les taux d'imposition. Et aujoudrd'hui, je vous l'affirme, c'est ce qui se dessine. Une gestion saine des finances publiques ou privées, repose principalement sur une analyse prospective à court et moyen terme dans un premier temps, puis sur le long terme. Et franchement si on continue comme ça, c'est l'explosion garantie des impots locaux et le gâchis d'un beau potentiel mais il sera top tard, oui vraiment trop tard. Merci qui? Merci à cette équipe noyée dans une idéologie de bas étage qui n'a rien à voir avec une administration citoyenne et honnête. Bon, si on rénove l'hippodrome, ce sera le signal du lancement de la cavalerie (financière) La crise ? A Pornichet, elle arrive, mais chut c'est un scoop....

Caroline a dit…

Bonjour le poulpe j'aime bien vous lire, mais sur l'histoire du Casino vous n'êtes pas crédible. Vous faites de la politique fiction. Avec ou sans Partouche il y aura toujours un Casino à Pornichet, c'est historique. Si Partouche se désengage il y aura un repreneur. La crise n'est pas éternelle. Parlez nous du port et de ce qu'il faudrait faire.

Pornichet le Poulpe a dit…

Caroline, votre remarque est intéressante mais malheureusement inexacte.

La procédure pour désigner un exploitant de casino est longue et assez complexe.
Les sociétés intéressées doivent partir du cahier des charges proposé par la commune contenant notamment des aspects qualitatifs (horaires, nature des jeux, surface dévolue aux jeux, restauration, animation...) et quantitatifs (taux d'imposition sur les jeux, durée de la concession, sponsoring...).
Elles peuvent naturellement aller plus loin que les propositions de la commune.
Dans les faits, les "jeux" sont souvent faits à l'avance car chaque grand groupe cible des casinos et évite de se lancer dans une surenchère suicidaire pour tous les acteurs du secteur. A Pornichet, la dernière fois, seul Partouche avait répondu au cahier des charges.

Si Partouche devait jeter l'éponge à Pornichet, qui prendrait la relève ?
- Hypothèse 1 : un gros acteur du secteur qui profite du désengagement de Partouche pour faire une offre à minima, notamment sur l'aspect fiscal. Pornichet conserverait un casino mais devrait se contenter de recettes fiscales minimalistes. Barrière pourrait jouer cette carte du pire pour contrôler la baie en favorisant le casino baulois intégré à l'offre hotelière du gruope.
- Hypothèse 2 : un nouvel entrant de taille modeste prend pied à Pornichet. Le coût de l'acquisition l'empêcherait d'investir notamment en matériel mais aussi en marketing. Peu à peu le casino déclinerait pour passer d'un gros casino du littoral atlantique en un tout petit casino de province générateur de faibles recettes fiscales.

Dans tous les cas de figure, le risque est malhereusement plus que fondé de penser qu'une logique de statu-quo conduira la commune à perdre de préciseuses recettes fiscales.

DAUPHINE a dit…

"Les collectivités locales ont aussi l'obligation comme l'ensemble de la communauté nationale, de chercher les meilleures façons de réduire les dépenses publiques. Et ce n'est pas contradictoire de continuer à investir et en même temps de réduire la dépense publique parce que nous sommes dans un pays qui est trop endetté. Cet endettement pèse sur notre croissance, il pèse sur notre avenir ; c'est une maladie infectieuse, l'endettement de longue durée, qui à terme peut gravement atteindre nos mécanismes économiques et donc lorsque je demande d'un côté aux collectivités locales d'investir, ça ne veut pas dire pour autant que je ne leur demande pas aussi de réfléchir comme le fait l'Etat à tous les moyens nécessaires pour rationaliser leur organisation, pour lutter contre ce qui n'est pas absolument nécessaire en terme de dépense ; pour rationaliser les échelons d'organisation territoriale comme nous sommes en train d'essayer de le faire avec la commission Balladur." Ce n'est pas moi qui le dit, c'était le 1er Ministre en octobre 2008 à MONTAUBAN, pendant le projet du PLU. Il faudrait qu'il écoute son parti.

Inquiet a dit…

Pouvez-vous nous dire qui est le propriétaire des murs du casino?
Que pourrait-il arriver, si ce n'est pas Partouche ?

Pornichet le Poulpe a dit…

Inquiet,

A notre connaissance, les murs du Casino appartiennent pour la moitié Sud au groupe Partouche et pour la moitié nord à un particulier qui loue les surfaces à l'exploitant du Casino.

Des clauses assez complexes imposent de fait à Partouche de céder sa propriété à tout nouvel exploitant, par contre pour le particulier rien n'est moins sûr.

Jusqu'à présent une alliance objective entre l'exploitant du casino (via des loyers conséquents) et la commune (via des règles d'urbanisme spécifiques) incitaient vivement le propriétaire de la partie nord à "offrir" la jouissance de ses biens au casinotier.

Si la Ville venait à concevoir un nouveau casino sur un nouveau site, elle aurait la possibilité de sécuriser le système par un bail emphytéotique (sous réserve de posséder le sol) imposant le fait que les murs (dans des conditions à définir) seraient intégrés à la concession d'exploitation.

Pour mémoire, la commune a le pouvoir par la procédure de délégation de service public de choisir son exploitant et de décider du lieu d'exploitation de l'activité.

bingo a dit…

Que balbutie un robert belliot lors d'une discussion avec partouche?
Joker!

Unknown a dit…

Mon cher mollusque, j'ai appris aujourd'hui par des personnes visiblement bien informées que le terrain sur lequel se trouve actuellement le stade Louis Mahé et sur lequel Bobby a prévu une maison de retraite avait été légué par une habitante de Pornichet à la commune à la condition que le terrain reste dans l'état. Etes-vous au courant ? Si tel est le cas que devient le projet de Bobby ? Bien à vous ....

Partisan certes mais tout est vrai! a dit…

13 ans ont été nécessaires à l'équipe Lambert pour structurer la ville, les services de la Mairie, l'Office de tourisme, pour acquérir des terrains pour faire du logement accessible, pour doter la ville d'équipements majeurs (halles, médiathèque, crèche, école, centre de loisirs, locaux CCAS,boulodrome du Bois joli, accueils périscolaires, quai des arts, halte garderie, bulle du ninon tennis club,Point jeunes, liaison Aubry-Prieux...), pour dynamiser tous les secteurs (marché-commerces, activités sportives,tourisme, animations culturelles, espaces publics et chemins de randonnée, tissu associatif, services à la personne...), pour s'imposer auprès de toutes les administrations et collectivités comme interlocuteur sérieux, compétent et soucieux de l'intèrêt général, pour ouvrir la ville vers son futur....
2 ans à peine ont suffit à l'équipe Belliot pour décimer les services municipaux, pour vendre aux privés ou pour transformer en parking les biens fonciers de la commune, pour dépenser frénétiquement dans des projets aussi peu prioritaires pour la ville qu'un parc paysager à 4M9 d'euros, pour "évacuer" les présidents d'association pas assez complaisants, pour accepter un chéque de Total à condition de renoncer à toute poursuite sur le préjudice de l'Erika, pour être la risée des acteurs locaux même "amis", pour présenter un PLU non respectueux des lois de la République, pour ternir l'image de notre ville désormais fermée à toute nouvelle population qui pourrait "déranger" les résidents actuels voulant profiter seuls du cadre qu'ils veulent figer....
Les conséquences de cette gestion de ville catastrophique pour son avenir, son économie, ses finances ne se ressentent pas encore....la ville a été confiée à cette nouvelle équipe avec une situation financière saine, avec peu d'emprunts, avec des possibilités d'autofinancement enviées, avec des biens fonciers conséquents, avec des équipements publics neufs....
Rendez-vous dans 4 ans!

Anonyme a dit…

L'Echo de la Presqu'île avait publié un article à ce sujet signé N.D (?) Il rapportait que la cessation de ce terrain dans le cadre d'un legs n'était qu'une légende urbaine. On peut penser que si c'était vraiment un legs avec la condition de laisser le terrain en état, l'ancien maire, bien au courant des affaires de la commune, se serait engouffré dans la brèche!

Pornichet le Poulpe a dit…

L'argumentaire du dernier "Anonyme" concernant le site du parc des sports Louis Mahé nous semble exact.

Nos recherches nous laissent effectivement penser que ce site n'est pas grevé de servitudes, contrairement à une tenace légende locale.

Il n'en est pas moins ahurissant de le fermer pour construire sur 8.000 m² de terrain une maison de retraite qui n'occupera que 2.000 m² au sol. Encore une utilisation catastrophique du foncier de la commune !

Pauline a dit…

Quelle opposition à Pornichet?
Hier soir au conseil municipal, Belliot toujours populiste et démago n'a pas eu de difficultés pour faire passer ses résolutions.
Il parle un peu mieux cependant.
Par contre Lambert et ses co-listiers bafouillaient,hésitaient, lisaient des textes peu convaincants.
Je ne voudrais pas avoir Lambert comme avocat!

Anonyme a dit…

A propos de ce Parc des Sports Louis Mahé, il serait intéressant que Le Poulpe puisse nous expliquer pourquoi ce stade est quasi inutilisé depuis très longtemps (même sous l'ère Lambert !), alors que le Complexe Aubry-Prieux est complètement saturé. La seule utilisation planifiée de Louis Mahé est celle du Club cycliste de Pornichet (comme point de départ). S'il existe un réel planning d'utilisation, merci de le diffuser sur ce site.

Signé JMP44

Anonyme a dit…

Question à l'intention du Poulpe :
Je suis étonné que vous ne vous soyez pas encore emparé du sujet concernant le nouveau Parking Flaubert (en cours d'achèvement).
- nos impôts ont payés le terrain,
- nos impôts vont payer la construction du parking (personne n'en parle).

Or, qui va utiliser ce parking ?? :
- les résidents des récents immeubles Flaubert qui avaient obtenu de la Municipalité Lambert, l'interdiction du stationnement sur les trottoirs jouxtant cette résidence, afin de ne pas être dérangés par les véhicules des utilisateurs du Complexe Aubry-Prieux (mise en place de jolis poteaux en bois). Le conséquence a été, pour eux, qu'il doivent obligatoirement utiliser leurs propres parkings souterrains. Il y a de fortes chances pour qu'ils "squattent" désormais ce parking juste devant eux.
- Les sportifs venant au football (nouveau terrain synthétique), si ce parking leur est clairement réservé (mais comment ?).

Merci pour vos lumières, puisque vous êtes (aussi) au coeur des différentes instances de décision.

Signé : JMP44

P4 a dit…

Réponse à JMP44.
Les panneaux publicitaires et photomontages utilisés pour promouvoir la vente avant construction des immeubles Flaubert montraient des voitures stationnées sur le trottoir au pied des immeubles. Le jour où il a été implanté les « jolis poteaux en bois » les propriétaires et/ou locataires ont été floués. Les voitures se sont trouvées reléguées en majorité un peu plus haut sur le trottoir d’en face…et étant moins bien surveillées certaines ont été vandalisées. A qui la faute ?
- A un promoteur peu scrupuleux ?
- A la décision municipale suggérée par un complexé ? (Je ne peux pas stationner devant chez moi, alors y-a pas de raison que les autres le puissent !)
- A des propriétaires ou locataires qui se sont plaints du bruit ?
Puis des arbres ont été plantés sur les trottoirs et les voitures se sont retrouvées encore plus loin. Il est vrai que c’est sympa aujourd’hui d’offrir un parking en face…aux frais des contribuables (ceux-là même qui ont payé les « jolis poteaux en bois ». Les utilisateurs pourront dormir tranquilles. Et avec le remblai de caillasses qui a été effectué le sol du parking ne risque pas de travailler !!! Encore une bien grosse dépense pour une petite surface.

Pornichet le Poulpe a dit…

Le parking de Flaubert semble déchainé les passions, un peu de patience, nous y reviendrons mais les(mé)faits du maire sont si réguliers que même Le Poulpe n'arrive plus à suivre ce néfaste Bobby...

kiki a dit…

Anonyme JMP44, vous ne passez manifestement pas souvent devant le stade Louis Mahé. Il y a en effet le club cyclos qui a son local et qui fait ses départs de balades. Mais il y a aussi et surtout les entrainements et matchs des jeunes de l'ESP Foot, le club de Pornichet. Il est aussi fréquenté par le club de foot loisir. Et encore par le club pornichétin d'ultimate. J'en ai peut-être oublié: allez-y c'est sympa de voir tous ces sportifs. En dehors des entrainements de clubs c'est aussi un stade ouvert à tout le monde et ce sont souvent des groupes de jeunes et des familles qui viennent s'y amuser et se dépenser un peu.
Il n'est pas besoin de planning, juste des yeux pour observer, des jambes pour s'y promener, des paroles à dire à tous ceux qu'on rencontre....Bonnes balades

P4 a dit…

Pour compléter ce que Kiki a dit, tous les dimanches en fin de matinée (dans la mesure où la météo vuet bien) il y a un entraînement de foot de jeunes et moins jeunes.

Anonyme a dit…

A propos de l'avenir du Stade Louis Mahé :
Dommage que ce vaste terrain soit utilisé ... de temps en temps (selon certains riverains !!).
La disponibilité d'une telle surface de 20000 m2, proche du coeur de ville, pour y faire des logements, dont 30% mini en logements sociaux, serait pourtant une bonne décision totalement conforme à la loi SRU et aux attentes des Pornichétins.
Autre suggestion : Pourquoi ne pas y implanter un Eco-quartier exemplaire pour toutes la Presqu'île ?

A côté de cela, le problème des 2000 m2 des anciennes serres reste entier, mais nous sommes dans un rapport de 1 à 10 !