samedi 20 septembre 2008

Des pépètes pour Atlantia


Yves Métaireau l'a rêvé, Robert Belliot l'a fait. Les contribuables pornichétins paieront pour soutenir Atlantia, une salle de spectacle désuète, en déficit chronique et affligée d'une programmation aux faibles ambitions culturelles.

Au détour d'une délibération municipale portant sur le budget supplémentaire de Quai des Arts, Robert Belliot et sa majorité municipale ont décidé de détourner 1.700 € des crédits de la salle pornichétine pour "l'achat de places auprès d'Atlantia pour des spectacles de théâtre de boulevard" (délibération n°23 du Conseil municipal du 30 juin dernier). Voilà une politique culturelle qui part sur de bonnes bases...

Pornichet, ta culture fout le camp


Après les années strass et paillettes chères à Jean-Claude Empereur (Compagnie créole, Kiméra...), l'époque Lambert fut marquée par la mise en oeuvre d'une politique culturelle privilégiant le livre et le spectacle vivant. Après le succès du "f'estival" des Renc'Arts, la municipalité animée par Jacques Lambert décida la réalisation de la salle de spectacle Quai des Arts. Vilipendée par la droite réac et des associations de défense "anti-tout", cet espace culturel, au rapport qualité-prix remarqué, a rapidement trouvé son public.

Renc'Arts et Quai des Arts ont privilégié une programmation exigeante et grand public cherchant à faire du spectateur un acteur et non un consommateur. A Pornichet, on venait au spectacle pour découvrir une oeuvre avec la certitude de se voir proposer un concert, une pièce de théâtre ou une représentation de nouveau cirque de qualité. Évidemment, le Ministère de la Culture ne s'y est pas trompé en versant régulièrement son obole à la programmation pornichétine.

Depuis l'ouverture de Quai des Arts, des accords de partenariat avec des structures culturelles de qualité (Grand T, Fanal, Kraft, Athanor...) avaient été noués. Le principe reposait sur un avantage tarifaire pour les adhérents d'une salle allant savourer un spectacle dans une autre. Ce partenariat ne reposait sur aucune subvention ou achat de places d'une salle de spectacle à une autre.

Cette époque est révolue. Les nouveaux élus pornichétins sous l'égide de Robert Belliot et de son adjointe à la culture, Dominique Salomon, préfèrent subventionner le showbiz à la bauloise plutôt que de soutenir leur propre espace culturel. Pour s'en convaincre, il suffit de consulter la programmation 2008/09 de Quai des Arts. Pas banal !

Patrick Sébastien, Vincent Moscato et les fils à papa


Alors que Pornichet jouait la carte d'une programmation culturelle originale et populaire, La Baule préférait une offre tournée vers le divertissement. Si Pornichet a longtemps brandi l'étendard du "pas vu à la télé", La Baule jouait plutôt la carte Gala ou TF1.

En tout cas, en 2008, le débat est clos. Les contribuables pornichétins vont payer avec leurs impôts la venue à Atlantia de spectacles issus des émissions TV de Christophe Dechavanne et Patrick Sébastien, animateurs de télévision aux ambitions culturelles probablement trop méconnues.

Mieux encore, les Pornichétins vont permettre à Vincent Moscato, hurleur rugbystique sur RMC, de nous démontrer ses talents artistiques, certainement à la hauteur des "bourre-pifs" qu'il distribuait allègrement lorsqu'il maniait la balle ovale au Stade Français. Avec la pièce, Oscar, La Baule espère probablement un entrefilet dans la presse people puisqu'au générique de ce vaudeville figure également Davy Sardou (le fis de...) et Sophie Tapie (la fille de...).

Merci aux Pornichétins d'aider ces artistes au talent pas assez reconnu...

23 commentaires:

Anonyme a dit…

Vous nous régalez cher céphalopode!
Après les années où on s'est farci les revendications des intermittents à chaque spectacle, il y a du neuf, il y a du cul! La compagnie sud-américaine présentée par Royal de Luxe n'a pas fait dans la dentelle place du 8 mai et la zigounette à l'air des acteurs mimant l'acte sexuel a bien été mise face aux yeux des bambins. Programmation exigeante et grand-public écrivez-vous ?

Anonyme a dit…

c'est vraiment un article sectaire. Toujours cette gauche de l'ancien temps qui critique TF1, les "strass et paillettes", la press people etc...
Et de l'autre coté, une politique de "haute" qualité!
Les pornichetains l'ont bien compris en vous ayant tres largement remercié.

Anonyme a dit…

Belliot a été élu parce que les Pornichétins en avaient marre de Lambert et de sa culture un peu trop abstraite et bobo..et de ses grands projets hippocampe! les choix de Belliot et Salomon sont ridicules ou affligeants, c'est vrai, mais les rencarts auraient du évoluer et ne pas rester aussi snobs..pas grand public, non plutot bobos, abstraits et pas droles. (idem St Naz! juste pour des intellos )
On va subir et passer du BOBO au BoBeauf!
Mais cessez de mépriser ceux qui regardent la TV : la princesse de Clèves..même Sarko y connait pas !

Anonyme a dit…

La vraie question c'est qu'est-ce que Pornichet va en retirer?
La Baule n'est pas dans le besoin, donc on ne peut parler de de solidarité.
Il serait donc normal qu'il y est réciprocité d'une façon ou d'une autre.
Je veux bien admettre qu'une partie en soit reversée sur la communauté de communes, mais sur La Baule ? Quelle mouche à piquée R.B.?
Et puis 1700 euros (c'est une somme pour moi), mais comparé au déficit d' Atlantia, c'est de l'aumône, si j'étais Baulois je serai pas fier de ne pouvoir subvenir à mes propres besoins!
Vous imaginez dans les dîners en ville :
"Ah! vous étiez au dernier spectacle d' Atlantia, a-t-il été dit que c'est Pornichet qui pââye?"

Anonyme a dit…

Alors que Pornichet a vraiment pris une voie innovante ces dernières années (Ouf et anonyme iront dire aux milliers de pornichetins venus voir les spectacles des renc'arts et de Quai des Arts qu'ils sont des bobos abstraits et snobs, merci pour eux !!), la tendance actuelle sent un retour à la facilité et à l'apprauvrissement culturel. A quand une star-ac à Quai des Arts ou un ko-lanta sur la plage de Sainte Marguerite? L'originalité des dernières années (ou tout n'a pas été de même qualité)fut d'abord de permettre à tous d'acceder à la culture ( festival gratuit, médiathèque, Quai des arts, politique d'exposition à la médaithèque...).
Le spectacle vivant de qualité à la portée de tous, devrait le slogan de toute politique culturelle digne de ce nom. Le spectacle vivant dans les collectivités, c'est d'abord de permettre la création et la diffusion. Heureusement que tous les spectacles ne plaisent pas, rien ne serait plus ridicule que des présentations uniformes ou satisfaisant toujours le même public. Un bon spectacle est toujours un spectacle qui interpelle !
Des centaines de pornichétins ont découvert des talents au cours des renc'arts. Que de bonnes surprises avec aussi parfois des deceptions fort heureusement.
Le spectacle vivant, ce n'est pas présenter des valeurs sures ( d'autres salles sont spécialées pour ce type de programmation dans la région). Pornichet a trouvé sa voie, le festival et Quai des Arts sont maintenant connus et reconnus dans le milieu culturel. Quand on parle de Pornichet dans les pages région des quotidiens, c'est pour la qualité de sa programmation culturelle et/ou évenementielle. Les changements de majorité n'autorisent pas, sous pretexte de marquer son territoire, à boulverser ce qui marche et ce qui fait l'image positive d'une ville. il y a une grande complémentarité dans les programmations culturelles avec les villes proches. Ne cassons pas cette dynamique qui commence à porter ses fruits.

Anonyme a dit…

A quand une subvention à Jacquouille...heuh je veux dire Mr. Clavier ami de qui on sait pour le rembourser des frais occasionnés par la manif des Corses dans son lotissement?
A l'anonyme N°1 qui fait référence au spectacle du 8 Mai, j'èspère que vous avez pris votre pied, moi quand je vais au spectacle ce n'est pas pour regarder la zigounette des acteurs.
A l'autre anonyme N°2 :
Depuis quand lire "voili" ou "voiça" ou tout autre connerie de ce genre c'est de la culture!
Quand à TF1, qui a dit "Mon métier c'est de préparer les cerveaux entre deux tranches de pub pour qu'ils ne zappent pas"? si ce n'est Mr Lelay PDG de ce même TF1.
Quand on vous lit on se dit que vos réactions donnent raison au Poulpe quand il tire la sonnette d'alarme.
Je me dit aussi, que des impôts vous ne devez pas en payer assez pour accepter d'en payer pour La Baule. Je vais en parler au ministre des finances, en lui signalant une niche fiscale sur Pornichet, qui veut bien payer pour La Baule. Sûr on parlera de vous au journal de 13H ....sur TF1 à la rubrique " Dans la France profonde..."

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Anonyme a dit…

Du temps d'Olivier Guichard, quand Atlantia servait au tourisme d'affaire, congrès, (avec son Directeur [intervention du modérateur] d'une grande compétence) cet espace était rentable. Depuis [intervention du modérateur] la politique de La Baule en [a] fait un espace déficitaire. Pornichet devrait se poser la question de sa propre politique de congrès, ou culturelle, avant de subventionner un voisin qui donne dans la médiocrité.

Anonyme a dit…

Pour au secours : il n'a pas vu le spectacle des renc'arts en question, certainement. Ce qui n'est pas choquant dans une salle d'art et d'essai, ou toute autre salle de théâtre en prévenant le public le devient quand il s'agit d'une manifestation à caractère familial. Je m'en fous des sexes ou des gestes obscènes, mais le vacancier qui amène ses enfants de 8-10 ans à un spectacle estampillé Royal de Luxe ?

Pornichet le Poulpe a dit…

Mise au point Pour ouf! afin de mettre fin à cette polémique stérile. Le spectacle incrimé était déconseillé aux moins de 13 ans. C'était écrit noir sur blanc dans le guide des Renc'Arts 2008 et repris dans tous les articles de presse le présentant. En matière de culture aussi, il n'y pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

Anonyme a dit…

La subtilité qui consiste à interdire au moins de 13 ans un spectacle en plein air, d'un festival n'ayant jusque-là jamais limité l'accès des spectateurs, dans une station balnéaire familiale m'échappe. Je dois vraiment être réac pour penser qu'il est possible que quelques familles pas au curant s'y soient égarées !

Pornichet le Poulpe a dit…

Réac vous avez dit réac ouf! ?

Anonyme a dit…

"Polémique stérile" dites vous Le Poulpe.Pour ma part je la trouve plutôt intéressante, mais affligeante, malheureusement tellement en phase avec la Société telle que construite par les soixantehuitards.
"Il est interdit d'interdire" disiez vous (ou disaient ils) et bien voilà le résultat, de la culture en dessous de la ceinture que vous trouvez simplement normal de "déconseiller au moins de 13 ans" !!!!
Remarquez c'est l'âge où à côté de chez nous, certains peuples estiment qu'une fille de cet âge (encore vrai aujourd'hui) a le devoir de devenir femme!
Quelle Société est en avance sur l'autre ? Allez donc savoir !!!!

Anonyme a dit…

«Ouf » a bien posé le problème et je souscris complètement a ses observations.
J’ai assisté à ce spectacle de Royal de Luxe et au-delà de cette nudité agressive et provocante qui n’apportait rien au sujet, la représentation était affligeante. Rien à voir avec l’imagination d’un feu Magic Circus ou des frasques d’un Alfredo Arias. C’est souvent le problème avec la plupart de ces spectacles amateurs et immatures des Renc’Arts. On a parfois la chance de tomber sur une bonne surprise mais c’est trop rare.
Ce type de spectacle devient encore plus galvaudé que le théâtre de boulevard qui lui devient plus intéressant à redécouvrir.
Etablir des accords avec Atlantia, tout en gardant ceux existants avec St Nazaire me parait une excellente initiative.
Le mépris populaire du poulpe pour ce qui sort de son microcosme élitiste est à la hauteur de la débâcle des Lambert/Laurent/Scordia aux dernières municipales.
Ils ne comprennent pas le peuple et vivent dans une bulle idéologique.

Anonyme a dit…

AU secours , Pornichet ne veut plus de la gauche ? et plus de culture? on va s'ennuyer ferme ici. Avant on pouvait rire, se moquer, discuter, et surtout être choquer. Le mot d'ordre est ordre et pour ceux qui connaissaient cette émission culte des débuts de la radio libre à Rennes , pas non plus d'alleluia chocking ce soir !
Cette culture qui rythme notre vie en lui donnant des petits coups aux fesses, qui nous ouvre les yeux, cette culture sœur de l'émancipation, cette reine du récurage du cœur, la princesse des expectorants de glaires publicitaires qui décoince le cerveau. Je réponds à ceux qui affirment que la culture est bobo à Pornichet, d'aller plutôt en longue robe parader comme des paons sur les marches d'atlantia, vêtu de longs gants blancs un peu comme à Cannes mais sans les stars, se bousculer au premier rang du spectacle du crazy horse. Cette programmation culturelle que vous appelez de vos vœux est une culture bourgeoise bien pensante, sans saveur, qui soulève à peine les cotes encore moins réfléchir sur le monde... Réfléchir c'est peut être le juste prix euh le juste mot, se réfléchir dans son propre monde, réfléchir le monde tel que vous le pensez, tel que vous êtes , pour mieux vous confondre en lui, et le maitriser. Non, surtout pas de miroir déformant ou d'un miroir qui pourrait dire la vérité ou soyons modeste une vérité, non cette culture bourgeoise bien pensante construit à son image son propre reflet.
Endormez-vous, anesthésiez-vous, comatez, soyez léger, ne pensez plus, ne choquez plus, ne vous révoltez plus, ne vous extasiez plus, parlez doucement, baissez le volume de votre stéréo, éteignez les lumières à 20h30, et allumez la télé. ouvrez grand les yeux, ne bougez plus, vous y êtes, prenez votre dose d'auto-satisfaction, d'émotion de salon,ingurgitez, encore un peu, il y a de la place entre les neurones, et hop bonne nuit. Un bisou à madame sue hélène et une bise à JR. La nuit sera longue, très longue...

Anonyme a dit…

1700 euros !

la place de spectacle est d'environ de 32 euros. Cela ne fait que 52 places pour l'année. une question me brule les doigts : Pour qui les places ? et dans quel cadre ?
merci bien de me répondre. Un citoyen qui voudrait voir "oscar".( c'est tellement drôle que je ne m'en lasse pas de le revoir !)

Anonyme a dit…

Les places achetées à Atlantia seront en vente à la billeterie de Quai des Arts, non ?

Pornichet le Poulpe a dit…

Note de la rédaction poulpienne

Le thème de la culture a chauffé le blog cette semaine. Pour la première fois dans l'histoire de ce blog, nous avons été contraints de bloquer un certain nombre de commentaires qui, sous couvert d'anonymat, n'étaient qu'insultes, bassesses, ignominies.

Nous sommes attachés à conserver un contenu de qualité préférant le débat, même vif, à des propos nauséeux.

Le dernier exemple est issu d'un commentaire prétendument d'Ingénu, qui n'est qu'insultes et quolibets et surtout n'apporte rien au débat.

Chers assidus du Poulpe, la qualité du blog n'est pas de la seule responsabilité des rédacteurs et modérateurs, elle est aussi de la votre.

Anonyme a dit…

Le Poulpe,
Désolé, mais sur cet article, vous avez fait preuve d'une réaction un tantinet trop rapide.
Je vous invite à visiter le site de la DUP, pour y voir la justification de cette subvention .Mme Garçon ayant répondue à l'interpellation de la DUP.
Par contre, vous ne dites pas un mot sur la récente mise en sens unique de la rue ou habite Mr. Belliot, alors que bien d'autres voies méritent davantage ce traitement.
N'y a-t-il pas là un traitement sinon abusif au moins de faveur?
Un élu ne doit-il pas faire preuve de retenue dans une décision qui visiblement satisfait un intérêt qui peut ressembler à du privé?

Pornichet le Poulpe a dit…

Anonyme (encore ! le choix d'un pourrait éclairer tout le monde)

L'explication apportée repose sur le fait que Quai des Arts vende effectivement ces places "made in Atlantia" à ses adhérents.

Reste que la question est de savoir si une salle culturelle comme Quai des Arts a vocation à passer des accords préférentiels avec une salle de divertissement comme Atlantia pour promouvoir du théâtre de boulevard de faible qualité si l'on se fie au casting.

A l'heure du nivellement des valeurs et d'un discours politique vide de sens (ah Sarko à Toulon !!!), il nous semble utile de différencier l'ambition de Quai des Arts de celle d'Atlantia.

Anonyme a dit…

Hello le poulpe,
vous vous laissez encore une fois aveugler par votre idéologie. Si l'achat des places pour Atlantia ne vous plaît pas, n'en achetez pas!Personne n'y est obligé et votre jugement sur le casting est purement personnel.Les partenariats précédents (grand T et les autres) sont toujours là, il y en aura donc pour ceux qui veulent du divertissement pur comme pour les cutureux. Pas d'ostracisme de grâce!
Pour l'anonyme qui intervient sur le sens interdit déjà évoqué très fugitivement sur un autre blog, il n'a qu'à regarder la configuration des lieux avant de parler d'intérêts privés!jbj

Anonyme a dit…

Le Poulpe
Permettez moi de faire valoir mon droit de réponse.
Votre dernier commentaire à mon attention risque de laisser croire aux autres lecteurs de ce blog que mes propos étaient orduriers.
Je vous mets donc au défi de citer un seul mot de mon intervention qui soit grossier, choquant.
Quand "ouf" dans son premier commentaire parle de cul, de zigounette à l'air, d'acte sexuel devant les bambins, quand "Dylan" dans son commentaire N° 14 parle de nudité agressive et provocante, je ne parle dans le m^me esprit, que "d'exhibition d'attributs".
Où est donc cher Poulpe votre sens du discernement, pour ma part je ne vois dans votre sanction qu'un acte discriminatoire !
" il n'y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir" dites vous dans votre commentaire ( N°10), proverbe pour proverbe je répondrai " quand on veut tuer son chien on dit qu'il a la rage"

Pornichet le Poulpe a dit…

Ingénu,

si les termes de votre commentaire incriminé étaient globalement châtiés, les allusions ad hominem étaient - à notre sens - trop violentes et surtout n'apportaient rien au débat.
Sur le fond, votre commentaire s'il était plus global aurait probablement été plus recevable.

Le maintien d'échanges vifs mais républicains passe parfois par des choix de la rédaction qui peuvent être contestés. En tout état de cause, si nous supprimons sans les mentionner les commentaires les plus indigents, nous nous faisons un devoir de le signaler dans tous les autres cas.