samedi 24 septembre 2011

Ethique en toc

Dramatique. Cette rentrée de septembre est dramatique pour Pornichet. Depuis l’été 2008 notre blog n’a de cesse de mettre en garde la population sur la réalité du mandat Belliot. Ces jours-ci, ce n’est pas le Poulpe, l’opposition ou les "socialos-communistes" de la CARENE qui sonnent le tocsin mais la justice et l’Etat sarkozyste. Aujourd’hui, Pornichet est mis au ban de la République et les Pornichétins avec.
Depuis le printemps 2008, nombreux sont les Pornichétins à s’interroger sur la capacité réelle de Robert Belliot à tenir la délicate barre du navire pornichétin. Balloté au gré des intérêts de riches propriétaires qui peuplent les associations de défense de leur patrimoine, jouet de lobbys conservateurs et égoïstes en diable, "démonétiseur" de la parole publique par ses revirements incessants, Robert Belliot s’affirme comme un barreur de petit temps. En une semaine, trois tempêtes viennent de le drosser sur le sable de ses ambitions : une mise sous tutelle, des assertions mensongères et une condamnation.
Tiens, voilà du Bouttin !
Encore imprégné de son inculture urbaine, Robert Belliot a cherché à se défendre de sa mise sous tutelle par le Préfet en expliquant son refus de "faire des barres". Toujours aussi dépassé par son époque, Robert Belliot ne connaît du logement social que les pires erreurs urbaines des années 60/70. Heureusement, Silène, l’opérateur de logements de l’agglomération nazairienne vient d’ouvrir une boutique d’information. Espérons que le Président de Silène et vice-président de la Carène en charge de l’habitat, David Samzun, le conviera à une visite de cette antenne et à une balade dans Saint-Nazaire à la découverte du logement social.
A Pornichet, Robert Belliot pourrait aussi aller voir ce qu’est vraiment le logement social. Il verra, s’il ôte ses œillères, que le logement social peut être harmonieux, bien tenu et offrir des logements que les occupants de programmes privés peuvent envier.
Devant le Préfet comme devant une presse incrédule, Robert Belliot ne semble toujours pas avoir compris ce qu’est le logement social. Il confond les logements défiscalisés plafonnant pendant une durée limitée le montant des loyers avec le véritable logement social. Celui-ci, géré par un bailleur social, offre des conditions de logement à tous et pas seulement aux classes moyennes.
Même la très droitière Christine Bouttin l’a compris, puisqu'elle a offert à l’Etat la possibilité de mettre sous tutelle les vilains petits canards qui refuse ntd’appliquer les lois sur le logement social. Robert Belliot a l’air malin d’endosser maintenant le costume mité de Caliméro.
Indignité
Au-delà du caractère pathétique et de l’attitude parfois ignominieuse de Robert Belliot à l’égard du logement social, ce dernier donne une triste image de la vie publique. Comme Sarkozy et ses copains de la Droite populaire, Robert Belliot accrédite les inclinations les plus nauséeuses de la nature humaine : individualisme, égoïsme, rejet de l’autre, xénophobie sociale… Lorsque le politique s’ingénie à flatter les bas instincts, il n’est pas étonnant de voir flamber le vote extrémiste.
Il faut vraiment que la droite démocrate-chrétienne de Loire-Atlantique soit en perdition morale et électorale pour accepter de faire le lit des ambitions personnelles de Robert Belliot en accordant un strapontin aux élections sénatoriales à la transparente Catherine Garçon, 1ère adjointe et fan de la première heure de Robert Belliot.
Démagogue en chef, Robert Belliot a fait monter au front son association-lige, Ensemble pour Pornichet et son président UMP pour appeler à un départ de la Carène. Au-delà d’une tactique de positionnement interne à la droite locale et d’une tentative d’écran de fumée avant l’annonce de la mise sous tutelle de la commune, Robert Belliot n’a pas hésité à laisser jeter en pâture des chiffres erronés pour ne pas dire mensongers pour faire croire que l’intérêt financier de Pornichet serait d’aller à Cap Atlantique. Même la pourtant pusillanime presse locale s’est offusquée des chiffres et de la méthode.
La réalité des pratiques made in Belliot vient du reste d’être sévèrement sanctionnée par la justice. Le tribunal administratif de Nantes a condamné la commune pour harcèlement moral à l’égard d’une de ses employées. Brillant pour un maire qui passe son temps à jouer de son image d’ancien DRH. Non seulement la commune est condamnée pour harcèlement moral pour des faits datant de 2009/10, non seulement elle est condamnée à verser 2.000 € de dommage et intérêts à la plaignante mais en plus elle va devoir payer au salarié l’assistance d’un avocat pour attaquer la maire au civil et au pénal. C’est certainement ce que l’on appelle une gestion de bon père de famille.
Autre exemple des mœurs de l’Hôtel de Ville, le fait que Robert Belliot ne digère pas sa défaite des dernières cantonales. Il se refuse à offrir une salle municipale pour les permanences mensuelles du conseiller général UMP et "oublie" de l’inviter aux réceptions municipales comme il est de bon ton. Visiblement, à l’école, le petit Robert n’a pas trouvé la page qui traitait de l’esprit républicain. Encore une carence…

Symbole de l’absence de toute morale publique dans son action municipale, Robert Belliot vient d’attaquer l’arrêté préfectoral qui place la commune sous tutelle. Quel bel exemple que celui d’un élu qui pourfend la jeunesse éméchée du quartier de la gare à coup de caméras vidéo et de CRS mais qui ne reconnaît pas ses propres actes délictueux. Comment dès lors s’étonner que la presse locale met comme phrase de la semaine (Ouest-France Dimanche du 18/09) une saillie d’un Pornichétin qui se demande « pourquoi faudrait-il construire des logements Hlm ? Ces gens-là finiront bien par hériter de leurs parents ! » Si la parole peut se libérer à ce point pour proférer de tels propos obscènes, c’est bien que le ver est dans le fruit et que la honte n’a pas fini de s’abattre sur Pornichet. A qui la responsabilité écrasante ?

27 commentaires:

Anonyme a dit…

Toc en +
Quoiqu'il en dise, ou qu'il en fasse, robert Belliot s'est mis dans une drole de situation.
Les coups de baguette préfectorale sur les doigts de l'élève Belliot ont - semble-t-il,- commençé à porter leurs fruits.
La séance du conseil municipal de vendredi dernier en est la démonstration.
La participation des élus majoritaires était plus que réduite. Et, fait significatif, plusieurs n'avaient meme pas donné de pouvoir à leurs collègues présents.Les rangs étaient étaient plus que clairsemés.
Autre chose, l'adjoint aux finances étant absent, et le maire incapable de présenter les dossiers financiers, il a fallu faire appel à la toute nouvelle directrice des services financiers, dont l'exposé brillantt n'a pas obligatoirement convaincu l'assemblée.
Quant au maire, parlons en, il a joué toute la soirée " profil bas ".Les élus de l'opposition ont pu s'exprimer sans se voir " couper la parole".
Il a été meme jusqu'à appeler ses troupes à la modération, et au respect de l'opposition. Une première...à souligner.
C'est ainsi que, pour la première fois, les élus de l'opposition ont pu s'exprimer en toute légitimité
Enfin une attitude démocratique !!!
Pour la première fois , nous n'avons pas entendu la formule rituelle pour abréger les débats: "on ne va pas y passer le réveillon " OUF....

Anonyme a dit…

La douche froide continue,avec tout ses revirments de clans pour etre bien placé aux Senatoriales,au lieu de se serrer les coudes,pour etre au top, ceux de la divertion ont gagné.merci les "grands electeurs de PORNICHET" vous avez montré ce qu'il ne fallait pas faire pour tout perdrent.SAVEZ VOUS QUI SONT CES GRANDS ELECTEURS cela fait peur pour l'avenirpa

Anonyme a dit…

Le poulpe ne sait pas qu'un tribunal administratif ne peut pas condamner pour des faits de harcèlement mais que cela relève du pénal ? il ne faut pas croire les titres accrocheurs de la presse... un peu de culture juridique de grâce...

Anonyme a dit…

Qui a dit :

"Je veux être un Maire de proximité qui affirmera l’identité de Pornichet par un rayonnement national, voire international."

Bravo c'est gagné du point de vue national, avec la honte des derniers évènements.

Anonyme a dit…

"un maire qui passe son temps à jouer de son image d’ancien DRH.."

Mais peut-il nous dire exactement OU il a passé ses derniers mois en tant que salarié d' AIRBUS ?

pauline a dit…

Encore une défaite pour Belliot, son adjointe qu'il avait placé sur la liste Guériau n'est pas élue!
Et une nouvelle victoire dans sa quête de division de la droite.
Il oublie bien sur, que jamais il n'aurait été élu maire si des honnêtes et respectables pornichétins n'avaient œuvré à l'union autour de lui.
Drole d'individu, que de regrets...

Anonyme a dit…

Quoi du plus normal que la Directrice des services financiers fasse l'exposé. Il a été fort bien développé et très convaincant, même si certains points ont été contestés (peut-être à juste titre) par l'opposition. Ne faisant pas l'objet d'une délibération, il n'avait pas nécessairement à être présenté par un élu.
Quant au soit disant profil bas, ce n'est pas la première fois que l'opposition peut "normalement" s'exprimer.
Mais faire des effets de manche comme au Tribunal ne fait pas nécessairement avancer le débat!

Anonyme a dit…

Précisions à l'anonyme de 13 h 01

Selon la Loi il y a délit lorsqu'il y a mise en danger délibéré de la personne d'autrui ou en cas de faute d'imprudence, de négligence ou de manquement à une obligation de prudence ou de sécurité des salariés. L'employeur est tenu envers ses salariés d'une obligation en matière de sécurité, notamment en matière de harcèlement moral, s'il est établi que l'auteur des faits n'a pas accompli les diligences normales compte tenu de la nature de ses missions ou de ses fonctions, de ses compétences, ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait.
Ne sont pas épargnés les personnes physiques qui n'ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation d'un dommage ou qui n'ont pas pris les mesures permettant de l'éviter ... Peuvent donc être déclarés responsables pénalement les personnes qui auront violés de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, ou auront commis une faute caractérisée (faute inexcusable) qui a exposé autrui à un risque d'une particulière gravité qu'elles ne pouvaient ignorer.
Le Juge administratif n'est pas un Juge de seconde zone, c'est le juge naturel de la fonction publique !

Anonyme a dit…

PA n'a pas tout compris sans doute.
Cohésion de l'UMP comme dans le morbihan : 0 sénateur.
Une liste UMP et une liste centre droit dans le 44 : reste 2 sénateurs.

Imaginez un instant qu'il n'y ait pas eu de liste du centre : 4 sénateurs à gauche et un seul à droite.

Il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier.

Wahou a dit…

Pourquoi voulez-vous que Trillard vienne à Pornichet?
L'ordre des diafoirus à chiwawas auquel il appartient, s'étend jusqu'à notre commune, et même jusqu'au premier cercle des élus de Pornichet.
Aussi, tous les faits et gestes de l'hôtel de ville de Pornichet même ceux vaseux du port d'échouage sont bien connus, en temps et en heure, du Sénateur de la Loire-Atlantique...
A coups sûrs, l'ascenseur repartira bien dans l'autre sens en 2014, quitte à éjecter Belliot !
Mais là, Comme disait Devos : "Dur, la vie de chien à son pépère !"

ASSEZ a dit…

A l'Anonyme du 26 septembre 2011 22:38
O peut également penser à d'autres raisons que la seule la cohésion de l'UMP dans le Morbihan, comme cause de défaite.

A savoir :
1) Des candidats de gauche de valeur.
2) Des candidats de droite, que même une chêvre aurait pu battre.
3) un Ras le bol encore plus prononcé de la politique du gouvernement, de la part des grands électeurs. La LA par exemple bénéficiant d'un CG à gauche qui atténue cette même politique.

Puisque nous sommes sur un blog dédié à Pronichet, je ne peux m'empêcher d'spérer que toutes ces raisons plus la vôtre renverront Belliot dans ses pénates en 2014

Anonyme a dit…

à anonyme du 26 septembre à 20h49 : merci pour ces précisions qui concernent la responsabilité pénale de l'employeur. Elles viennent confirmer que la condamnation pour harcèlement ne peut venir du juge administratif qui n'est pas compétent en matière pénale. A relire les articles de presse en question, au delà des titres accrocheurs, la condamnation concerne le refus d'accorder la protection juridique à l'employé pour des faits que le juge administratif a qualifié de harcèlement tout en reconnaissant que l'employé a toutefois "contribué par son attitude, à la dégradation des relations avec sa hiérarchie, de nature à atténuer la responsabilité de la commune de Pornichet" (presse Océan). Ce qui vous en conviendrez est radicalement différent. Le journaliste de Ouest-France conclut quant à lui que l'intéressé pourra effectivement poursuivre au civil et au pénal avec le bénéfice de la protection fonctionnelle pour éventuellement tenter de faire reconnaitre le harcèlement et demander réparation... donc pas de condamnation pour harcèlement mais affaire à suivre.

Anonyme a dit…

à l'anonyme du 27 septembre 2011 : 15 h 58.

Cher Monsieur à moins que cela ne s'adresse à une dame ...
Vous vous faites le porte parole de la Municipalité de Pornichet et de ses collaborateurs de service pour justifier leur attitude commune et néanmoins ABJECTE à l'égard d'une employée de longue date au service de la collectivité et, qui plus est, proche de la retraite.
Cette polémique au ras des paquerettes n'est pas très glorieuse !
La question qui se pose est "Pourquoi la Municipalité a t'elle refusé à trois reprises la protection fonctionnelle à cette employée, malgré un référé suspension du Juge pour raison sanitaire en novembre 2010 et l'alerte préalable, donnée au représentant de la Commune, par le médecin du travail qui n'a pas été entendu ?"
Afin de disculper les auteurs du harcèlement moral reconnu par le Tribunal administratif, sans aucun égard pour la souffrance de cette employée que vous jetez en pâture, vous n'hésitez pas, en parfaite méconnaissance des tenants et aboutissants de cette affaire, à charger cette personne vulnérable en arrêt maladie depuis de longs mois. Polémiquer ainsi sur son dos, quelle honte ! la Commune n'a pas besoin de cela en ce moment, pourquoi stigmatiser une employée alors qu'en parallèle tant de déboires agitent l'actualité de la vie municipale ?
Vous dites, ou plutôt vous citez "Cette employée aurait contribué par son attitude à la dégradation des relations avec sa hiérarchie, de nature à atténuer la responsabilité de la Commune de Pornichet"
Si RESISTER AU HARCELMENT MORAL s'appelle "contribuer à la dégradation des relations", pourquoi la Loi de 2002 sur la modernisation sociale a t'elle renforcé les droits des fonctionnaires en leur donnant la possibilité d'exercer un recours devant la juridiction administrative et pénale pour dénoncer de tels agissements ?
Et je me pose la question de savoir : Pendant que les relations se dégradaient entre cette employée et la hiérarchie de la mairie, qu'à fait l'autorité municipale, dotée pourtant d'un DRH bien positionné, pour désamorcer le conflit et règler le problème sans avoir besoin de laisser la justice trancher sur ce problème interne ?
Ne vaut-il pas mieux "prévenir que guérir" ? La loi (une fois encore) a anticipé ce genre de dérive en soumettant l'employeur à une obligation de sécurité à l'égard de ses salariés !
Aussi je ne crains pas de vous contredire, dans cette hypothèse préventive, la situation eût été "VOUS EN CONVIENDREZ, RADICALEMENT DIFFERENTE."
Maintenant, cela suffit, cessez de vous acharner sur cette personne qui a droit au respect autant que vous et ceux que vous défendez ...
Que ceux-ci lui donnent la protection fonctionnelle à laquelle elle a droit en pareille circonstance (étant contraint par le Tribunal administratif)et laissent le Tribunal correctionnel juger les faits et les personnes le cas échéant. CE N'EST PAS VOTRE ROLE, cantonnez-vous SVP à vos propres fonctions et tâcher d'être plus lucide et moins subjectif.
Signé : l'observateur de service, votre serviteur.

Paul R a dit…

PR a dit : A propos de la condamnation, par le Tribunal administratif, de la commune de Pornichet pour harcèlement moral, je constate :

- Le 26 novembre 2010, dans la Presqu'Ile Guérandaise, on pouvait lire un article intitlé : (Contentieux mairie-agent : les élus de Pornichet apportent leurs précisions)
La réaction du maire ne s'était pas fait attendre après le référé suspension de ses décisions de refus de protection fonctionnel à son agent ...
On pouvait lire entre autre : "Le maire tient également à préciser que les faits qui sont à l'origine du litige résultent de décisionns prises par l'ancienne municipalité à l'égard de la plaignante"
Or, cela était déjà étrange de voir "LES" élus de Pornichet apporter des précisions pour l'ensemble du conseil municipal, alors que la minorité de l'opposition incluse dans "LES" élus en question résultaient en partie de la composition de l'ex municipalité .. Ces derniers avaient-ils été consulté pour la publication de cet article ?

- Cette fois ci, après l'énnoncé du jugement début septembre 2011, condamnant la commune pour harcèlement moral, on n'a pas lu de réaction de la municipalité !

- Pourquoi cette fois, faire profil bas et laisser croire que cet employé, qui n'a pas voulu se laisser faire et qui tente d'obtenir justice, a tout bonnement "contribué à dégrader la situation" et qu'il était ainsi normal qu'elle paye de sa personne pour sa résistance ?
Et si son cas faisait jurisprudence, cet agent n'aurait pas seulement agi pour lui mais pour les intérêts de ses pairs, pour que cela ne se reproduise plus. A méditer.

Anonyme a dit…

"L'observateur de service" à effectivement l'air bien plus au courant et concerné que nous pouvons l'être à notre niveau. Sans doute travaille-t-il à la Mairie ? (Ce qui n'est pas mon cas). Je cherche simplement à mieux comprendre cette affaire dont la presse a fait écho en relatant certains éléments du jugements. Au delà de la responsabilité de la municipalité ou plutôt de la ville, il semble que cela concerne bien un problème avec la hiérarchie et non les élus ? mais peut-être ai-je mal lire ?

monptitdoigtmadit a dit…

Avez-vous vu que Gatien Meunier prépare un coup avec Jérémie Rabiller, Joël Zoliec et Annick Dénéchaud ?... ça sent la 3ème liste en 2014... Bien fait !

Anonyme a dit…

Réponse à Anonyme de 13 h 24 de la part de l'observateur de service.
Je ne travaille pas non plus à la mairie mais cette affaire a connu de nombreux impacts bien au delà de la Mairie de Pornichet, d'autant que c'est un sujet brulant et malheureusement de plus en plus d'actualité non seulement dans le privé mais aussi dans le public.
Depuis quelques temps, on assiste d'ailleurs à de nombreuses dérives de ce genre dans la fonction publique car c'est un bon moyen de se débarasser des employés titulaires devenus gênants. Or, comme on ne peut pas les licencier, on les harcèle, on essaye de les pousser à la faute et à coup sûr, lorsqu'on met harot sur le baudet (un contre tous !), on finit par avoir sa peau !
Je constate en effet que, comme beaucoup de nos concitoyens sans doute, vous ne connaissez en effet pas les rouages de l'administration. De ce cas précis comme dans d'autres similaires, certes la faute, qui n'est en l'espèce pas une faute de service, mais bien une faute personnelle détachable du service, s'impute bien aux personnels constituant la hiérarchie ...
Néanmoins, il ne faut pas oublier que la hiérarchie est évidemment aux ordres des élus et que si ces derniers, lorsqu'ils sont prévenus de tels agissements dans l'enceinte de leur collectivité ne prennent pas les mesures de protection nécessaires édictées par la Loi à plusieurs titres, en ne prenant pas les sanctions disciplinaires à l'égard des agents harceleurs, ils deviennent ansi complices et, par conséquent, auront également à répondre de leurs actes devant une juridiction correctionnelle au pénal.
J'espère que mes précisions vous permettront de voir plus clair face à cette situation inadmissible car la Loi parle bien dans ce contexte de FAUTE INEXCUSABLE DE LA PART DE L'EMPLOYEUR.

Jacques Chazot a dit…

Lu dans Presse Océan du mercredi 28 septembre 2011 à propos des résultats des élections sénatoriales en loire-atlantique

"...Parti Radical : doublement satisfait
Le parti radical "se félicite" de la victoire de Joël Guerriau. "Son élection représente un nouveau souffle et des nouvelles perpectives".
Mais il "salue" aussi la réelection de André Trillard car "l'expérience et la connaissance des territoires sont des qualités indispensables""

Gageons que le valeureux maire de Pornichet sera attiré par ce pas de deux et rejoindra la table de ceux qui mangent aux repas des nouveaux affamés.
Cela ne l'a pas empêché d'apporter à dernière fête de l'UMP, une enveloppe pour solliciter auprès d'un ministre de passage, un complément alimentaire.
N'aura-t-il pas un jour, honte de son attitude?
Il est vrai que de tous les côtés politiques, on le laisse faire.
Y a de la place à la cantine, n'est-ce Robert?
Qui paye?

Anonyme a dit…

Le MAIRE a demandé que le site "shell soit pour le moment aménagé en végétation.Comme c'était un projet d'un groupe hotelier du sud-est qui n'a pas confirmé pour le moment l'ETAT a dit "STOP".C'a commence pour la mise sous tutelle.pa

lego a dit…

Station Shell:
Les groupes hôteliers ne peuvent pas aménager ce site et le rendre économiquement viable en limitant la hauteur de construction.

Résidence des Cheminot:
Kaufmann et Broad a enlevé toutes ses pancartes, le beau projet de rénovation semble abandonné. Ruine à venir.

Chateau des Tourelles:
Rien ne bouge. En friche.

Port:
Envasé, sinistre.

Rien ne va plus à Pornichet; avec une telle gestion au jour le jour de l'urbanisme on comprends la défiance des investisseurs.

Anonyme a dit…

Je ne comprend plus la MAIRIE de PORNICHET.Finale des clubs motocyclistes de la POLICE NATIONALE ,le jeudi 29 sept parcours technique au stade Louis Mahé a PORNICHET.hotel resevé pour les 120 policiers venu de France et DOM TOM résidence Azuréva PORNICHET.Vendredi 30 sept rallye départ de st Marguerite retour st Marguerite,repas de cloture a l'hotel.Le seul probléme c'est que LA BAULE et son Maire ont recu cette manifestation pour la parade et la remise des trophés en présence du sous PREFET et autres personalités.PORNICHET etait présent pour 90 pour cent de cette manifestation,pas une seule personne de la mairie de PORNICHET je me pose la question, y a t'il un pilote dans la ville.J'étais présent à cette féte de la police motorisée que du beau monde et de belles motos pa

Anonyme a dit…

je ne souhaite pas que Pornichet quitte la Carène. J'estime que nous avons acquis des avantages en quittant Cap Atlantique et en s'intégrant à la Carène (les notes d'eau ont baissé, les bus jaunes servent à nos Pornichétins, souvent les plus âgés pour se déplacer...)
COMMENT ORGANISER UNE PETITION QUI DEMANDERAIT DE RESTER A LA CARENE?
qui serait d'accord pour contrer celle en cours pour rejoindre le Cap? Une Pornichétine excédée par les amis du maire et leur pétition partisane.

Anonyme a dit…

ET OUI, tant qu'à faire un référendum populaire, il faut intérroger tous les gens et pas seulement ceux qui soutiennent les partisans de CAP ATLANTIQUE.
Personnellement, et nous sommes nombreux dans ce cas, nous apprécions beauoup les aménagements du sentier côtier qui longe les plages de satinte-marguerite, bonne source jusqu'à la pointe du Bec. Nous avions tellement attendu cet aménagement et les escaliers de descente de plages.
Merci la Carenne !
Monsieur le Maire souhaite rejoindre CAP ATLANTIQUE pour améliorer l'aspect de la baie Pornichet - La Baule et notamment la promenade du remblai !!!
Mais qu'il est triste et peu mis en valeur ce remblai !!! Franchement St-Nazaire a fait NETTEMENT MIEUX et, dorénavant, de plus en plus de gens délaissent le remblai de pornichet la Baule pour celui de St-Nazaire ...

Anonyme a dit…

déjà il faudrait voir cette fameuse pétition et comment elle circule , moi je ne l'ai pas encore vue .... vous avez raison qu'aurait - on à gagner en retournant à Cap Atlantique ?

Anonyme a dit…

Peut-être que le remise des prix du concours de la Police Nationale s'est déroulée à La bAule tout simplement parce c'est à La Baule que se toruve la Commissariat de Police .... logique non ?

Anonyme a dit…

Pa ne fait pas de remarque comme quoi la remise des prix de la Police Nationale avait lieu à la Baule.
Il fait la remarque que pour ce genre d'évènement et son importance, aucun élu de la mairie n'était présent.
Je rajouterai :
comme d'hab!

Bazar de l'Hôtel de Ville (suite) a dit…

Les ordres sont les ordres !
"pas d'élus à la remise des prix de la Police Nationale" ont dit Le maire de Pornichet et l'élu-pompier de service!
Finalement, on y a aperçu, devinez-qui?
Eh, Eh, notre élu-pompier de service est arrivé, sur son beau 4x4, flanqué de son adjoint aux sports!
Pour une fois, qu'il commande, nous direz-vous!
Avec nos deux mexicains à la parade, nos amis baulois et les fonctionnaires de police d'active ont, une fois de plus, bien rigolé !