Le verdict est tombé. Entre la politique de démantèlement de l’Education Nationale voulue par Sarkozy et la volonté de Belliot de faire de Pornichet une vaste maison de retraite, les enfants de la commune vont trinquer. A la rentrée prochaine, pas moins de 3 classes des écoles publiques sont susceptibles de fermer. Merci qui ?
Avec juin tombe le couperet des ouvertures et fermetures de classe. L’absence de volonté municipale explicite de permettre aux familles de vivre à Pornichet et la politique gouvernementale font des ravages dans tous les groupes scolaires de la commune.
3 fermetures en septembre
Jamais depuis les années 1960, Pornichet n’avait subi la fermeture de 3 classes à la même rentrée scolaire. Une classe fermée au groupe scolaire Jean Macé, une autre annoncée à l’école des Ramiers et une troisième probable fermeture au groupe scolaire du Pouligou, douloureux tiercé pour une commune qui hier encore ouvrait des classes à chaque rentrée.
Le pire est sans doute encore à venir car l’onde des classes creuses va se faire mécaniquement sentir quasiment durant une décennie. Hors, Pornichet voit le nombre de ses naissances s’effondrer dramatiquement depuis 2008. Jusque-là, hormis quelques accidents conjoncturels, le rythme de naissances tournait chaque année autour de la centaine de bambins.
En 2008, incident que beaucoup pensaient conjoncturel, Pornichet voit son chiffre des naissances domiciliées, dixit l’Insee, s’effondrer autour de la soixantaine. Malheureusement, aucun rebond technique en 2009 et 2010 (comme disent les statisticiens) ne viendra corriger cette tendance, comme si Pornichet devait s’habituer à dépasser péniblement les 50 naissances par an.
Entre enchérissement des prix du foncier, absence de mise sur le marché de lotissements significatifs en terme de nombre de logements, envolée des prix de l’immobilier même pour des biens de qualité modeste et refus municipal d’offrir une véritable offre de logements sociaux, Pornichet s’enfonce dans un modèle bien connu sur la Côte d’Azur ou le Pays basque. Place à une ville littorale accessible uniquement aux seniors et à une économie de services qui fonctionne avec des actifs vivant entre 10 et 30 km de leur lieu de travail.
Une autre politique est possible
Naturellement, Pornichet ne peut pas être hors du monde, ni même hors de la frénésie littorale qui démange le monde occidental dans son ensemble. Pourtant, la mutation de la commune d’une ville dynamique et équilibrée démographiquement en une station réservée à des seniors aisés et à quelques familles d’actifs aux revenus XXL n’est pas inéluctable.
Un autre destin est possible. Il impose courage politique, vision à moyen et long terme, ténacité et compétences. Autant de notions largement étrangères à l’actuel maire de Pornichet.
Courage politique. Oui, il faut clairement dire que l’accès des familles à Pornichet passe par des formes nouvelles d’habitat, suppose une forte augmentation du nombre de logements sociaux, induit des choix financiers où les hommes comptent plus que les chevaux…
Vision à moyen et long terme. Dans un contexte de rareté et de cherté du foncier, il faut proposer un cap, affirmer des convictions, offrir des perspectives. Plutôt que de produire un PLU rétrograde qui empêche l’adaptation des logements aux évolutions des familles, qui impose une architecture old school, qui exige des fonciers surdimensionnés, il faut mettre en place des outils de maîtrise foncière publique des cœurs d’ilot, il faut utiliser les fonciers publics disponibles pour produire du logement adapté aux familles, il faut affecter le sol à des opérations d’habitat plutôt qu’à des parkings XXL vides 350 jours par an.
Ténacité. Il ne faut pas être versatile et apparaître uniquement comme un marin de beau temps. Il faut savoir traverser des tempêtes, résister aux sirènes de la mode ou de la bien-pensance, affirmer un cap et se donner les moyens de l’atteindre. Il ne faut pas vouloir uniquement faire plaisirs aux nantis de Prosimar ou d’autres associations de propriétaires qui confisquent Pornichet pour leurs seuls intérêts de classe.
Compétences. Il faut parvenir à distinguer logement social et accession encadrée, il faut comprendre que l’habitat des années 2010 ne sera pas celui des années 1960, que l’avenir d’une commune passe par sa capacité à accueillir tous les ménages, les jeunes comme les vieux, et pas seulement les plus aisés, que l’élaboration d’un plan local d’urbanisme doit préparer l’avenir et pas servir à projeter ses lointaines aspirations de jeunesse.
Avec Robert Belliot, Pornichet se meurt. Au-delà des fadaises réacs portées par une communication municipale payée par tous les contribuables, les faits sont têtus, Pornichet décline et Robert Belliot sera son fossoyeur. Faisons un pari : vers 2015/2017, Pornichet fermera un groupe scolaire public et ouvrira une maison pour personnes âgées dépendantes. Voilà l’un des aspects du futur héritage Belliot.
15 commentaires:
Que c'est triste...les seniors de pornichet ont oublié qu'ils ont été jeunes et qu'à leur époque, les anciens ont cru en eux et leurs ont permis de bien vivre, voir très bien vivre.
Aujourd'hui, ils ont oublié d'où ils venaient...
Quel égoïsme!!!!et en plus, ils demande aux jeunes de financer leur fin de vie au soleil.
C'est la politique d'Attila qui ne voulait pas que l'herbe repousse derrière lui, comme celle de Louis XIV, exemple royal d'un égo surdimensionné qui disait quant à lui "après nous le déluge !"
Il est vital qu'une nouvelle équipe avec des gens "neufs", animés d'une politique altruiste, juste et évoluée vers l'avenir se constitue, d'ores et déjà, pour 2014 car les administrés ne peuvent plus laisser faire n'importe quoi.
Ainsi pour barrer la route à la "décrépitude", ils devront, au préalable, faire une grande campagne d'information expliquant aux électeurs qu'il ne sera pas facile de remonter la barre(notamment au niveau des finances publiques dont on entend dire que le bilan pourrait être catastrophique), car il est certain que pour repartir sur de bonnes bases, les prochains élus devront probablement passer par une politique de rigueur destinée à rétablir l'équilibre budgétaire de la Commmune, si l'on veut ensuite rebondir. Je pense humblement que les administrés seront, même si c'est à contre coeur, persuadés de cette action si elle permet d'effacer ce triste mandat.Une commune, comme un état, doit être gérée démocratiquement par une équipe, incluant une opposition à qui l'on donne la parole pour une action conjointe et constructive, et non pas conduite par un seul homme qui n'est justement qu'un homme.
Comme dit la chanson
"Quand on nait con, on est con, et l'age ne change rien à l'affaire".
La solidarité existait sur nos côtes avant que le tourisme de masse vienne "polluer" l'économie locale et sa démographie.
On récupére une population qui hérite, ou qui fuit les grandes villes, ou l'on fait régner la paranoia de l'insécurité. Mais en fuyant , ces vieux propagent cette paranoïa. Ils ont perdu lors de leur existence en grande cité, le contact avec les jeunes. Ils ne savent plus leur parler, et préfèrent les rejeter, les filmer en permanence.Se barricader c'est tout ce qu'ils savent faire. Merci l 'American way of life !
Et cerise sur le gateau, leurs appartements et maisons, qui valent de plus en plus chers, vont être exonérés de l' ISF, par notre gouvernement libéral.
Oui triste situation...vivement la "révolution" politique de 2012.
Je n'ai pas oublié d’où je viens.
Quand j'étais jeune, mes parents m'ont encouragé à travailler et être mobile pour accéder à une vie plus confortable.
A 21 ans (1960), j'ai quitté la région pour saisir les opportunités qui se présentaient (et aussi connaitre certaines périodes de chômage).
A cette époque il n'y avait ni 35h, ni RTT, ni 5 semaines de vacances, ni congé de paternité, ni RSA ni prêts à taux 0...J'ai du partir à la retraite à 60 ans en étant honteux d'être si jeune à la charge des autres.
Tous ces "avantages sociaux" ont accentué le sentiment de frustration d'une certaine jeunesse qui en veut encore plus sans comprendre les incidences sur la compétitivité des entreprises et les couts indirects sur les actifs de moins en moins nombreux (et non pas les jeunes). N'oubliez pas les couts faramineux de l'éducation nationale, les étudiants de plus en plus vieux et des niveaux bacs +5 requis pour être instit. en maternelle!
Qui peut financer? Les riches? Beaucoup sont partis depuis l'ISF et paient leurs impôts ailleurs.
Et certains jeunes en sont toujours à la lutte des classes et font même de l'odieux racisme anti-vieux.
Je n'ose pas le croire car les fréquentant à divers titres, les plus éduqués ont conscience des enjeux de la société.
Ah oui, j'ai acheté ma maison face mer à Pornichet à 48 ans (à crédit).
20 ans que j'en rêvais, 20 ans de sacrifices et d'économies.
Alors d'accord pour faire plus de logements sociaux mais pour les plus méritants et non pour les assistés oisifs qui voudraient qu'on leur offre à 25 ans la vue sur mer.
non contents de cette situation, la mairie se permet de mettre les ATSEM ou celles qui remplissent se rôle en echec en choisissant comme critère principal de reclassement les ATSEM dont la classe ferme au lieu de s'appuyer sur les critères de la fonction publique terrritoeriale que sont le grade et l'ancienneté. les ATSEM n'ont pas, sauf preuve du contraire, choisi la classe qui devait fermée, dans le cynisme on fait difficilement pire...
Voir pour quels vieux paient les jeunes:
http://rutube.ru/tracks/4537642.html?v=170392df0a57c69c08194ce7b5630cf2
Eh, Vieux a dit....quelques belles bêtises, à manier des raccourcis à l'emporte-pièce! Tant que vous y êtes, regrettez le "bon vieux temps" où on savait travailler pardi, et jeune avec ça, même très jeune pour descendre à la mine, le "bon vieux temps" où les ouvriers usés mourraient bien avant la retraite (ça au moins ça coûtait moins cher à la société)....
Vous avez pû vous offrir une maison à Pornichet, face mer : tant mieux! grâce à votre travail, mais aussi grâce à un salaire décent (oh! encore un de ces "avantages sociaux", plaie de notre société) et vous en profitez longtemps grâce à votre bonne nature qui vous a donné une bonne santé, peut-être pas étrangère à des conditions de travail moins pénibles obtenues par des luttes sociales, etc..;
Les jeunes que vous qualifiez d'oisifs assistés ne veulent pas vous enlever vos biens, ne veulent pas vous chasser de votre maison, ne veulent pas vous gâcher la vue sur mer.... ils veulent juste pouvoir se loger, même dans une rue sans beaucoup de soleil, même au fond d'une impasse avec vue sur rien; beaucoup sont même Pornichétins de naissance et ont envie d'un petit, même tout petit chez eux.
Je vous souhaite, Vieux à oeillères, de ne jamais connaître le stress du chômage ou du travail au salaire misérable insuffisant pour payer le loyer d'un logement, même social. Ah! j'oubliais: il faut même un peu d'argent pour manger. Au fait "les plus méritants" c'est qui? Les chômeurs ont démérité en quoi?
Encore une nouvelle association émanant de la bande à Belliot! Certains disent qu'elle serait l'émanation du souffleur du théâtre Nouveau Centre de Monsieur Guerriau. Après son entrée fracassante auprès du Maire de Pornichet au grand dam de l'UMP, aurait-il des projets pour la suppléante de Belliot et son fidèle chroniqueur des "fric, sex and notables"?
Ou prépare-t-il Belliot pour les Législatives de 2012? Quelque soit le scénario, réjouissons-nous de les voir réinventer la poudre 1500 ans après les chinois....
A Vieux
Vos réactions :
-"On doit souffrir pour mériter" (Mes parents m'on encourager..."
-"J'ai honte, cela m'excuse" (Je suis parti en retraite à 60..)
-"Vaut mieux la charité que les avantages sociaux"
-"Quelle prétention de vouloir savoir toujours plus" (L'éducation nationale coute cher)
Vos réactions sont typiques d'une droite Judeo-Chrétienne.
A la quelle je répondrai :
-Si vous aviez honte de partir à 60 ans, rien ne vous empêchait de rester travailler, mais peut-être est-ce votre coté gauche qui vous disait d'être plus solidaire ?
-L'éducation nationale coute cher !Tout coute cher , Mon Vieux, prenez l'armement, la sécurité, etc..
-Vous avez connu du chômage, vous n'êtes pas le seul, mais avouez le, n'était-il pas rémunéré ? Parce qu'aujoud'hui les jeunes, qui ne peuvent pas trouver du travail, et qui cherchent, eux ne touchent qu'un RSA, et vous vous pourriez vivre avec un RSA.
Votre retraite, combien de fois le RSA ?
Vous avez pu être un priviligié de naissance , vous êtes né juste à la fin de la guerre et avez donc pleinement bénéficié des retombées du CNR.Et aujourd'hui toujours bénéficiaire de cette naissance, vous venez reprochez à ceux qui suivent de ne pas accepter les conséquences des crises. Si ces dernières sont la résultante de vos privilèges, que ne vous les abandonniez pas, pour permettre aux plus jeunes d'avoir leur chance ?
Autre privilège, le fait de vivre au bord de la mer reconnu par vous dans votre phrase :
"... qui voudraient qu'on leur offre à 25 ans la vue sur mer", me ramène à une de vos premières phrases
"A 21 ans (1960), j'ai quitté la région "...Alors vous vous avez pu vivre enfant dans la région, et aujourd'hui vous déniez ce droit aux jeunes, enfant ou non de résidents. vous avez pu y revenir les poches pleines pour vous payer une maison ( le cout du crédit, pour faire pleurer dans la chaumière, cela ne passe plus, allez voir la banque avec un RSA pour obtenir un crédit).
Vous vivez maintenant une retraite peinar sur le bord de mer, et vous osez prétendre que vous en avez bavé, au regard de jeunes qui dans le monde entier, diplomé ou non, ne trouve rien avant 25/30 ans. Eh! faut lire les journaux Mon Vieux !
Et vous trouvez étonnant que certains d'entre eux fassent du racisme anti-vieux !
Mais comme vous vous autorisez à dire que la solidarité sociale se fasse au plus méritant, j'ose le dire, les jeunes ont raison de vouloir à ce que des vieux ne méritent pas de vivre au dessus des moyens que les moins-jeunes payent !!
Alors, oui, allons-y poussons jusqu'au paroxysme votre raisonnement, pourquoi , ne produisant plus rien, mériteriez-vous plus que le strict minimum vital , par exemple un RSA, puisque vous pensez qu'avec ce montan, non seulement on vit, mais en plus on abuse!
A SUIVRE .....
SUITE ET FIN
our conclure, j'ai presque l'âge de rejoindre votre classe de retraités, j'ai des enfants, dont un qui pourraient bien prétendre à faire partir des "indignes".
Moi aussi, j'ai quitté la région, cela ne m'autorise pas à porter cela comme une médaille que j'accroche au revers de ma veste.
Oui , nous n'avons pas eu toute notre vie les 35 heures ( dont la plupart d'entre nous ne bénéficie pas), oui VOUS avez la retraite à 60 ans, mais dorénavant il faut dire 62 et plus.
Oui , moi aussi, j'ai payé ma maison à crédit, mais j'ai pu premièrement l'obtenir parce que des garanties (comme vous) et parce que j'avais un emploi ! Et ces crédits on a tous pu les renégocier ! L'inflation vous vous souvenez de ce mot, qui vous a permis de vous faire augmenter ?
Alors, vos SACRIFICES, quels furent-ils ? Ne pas voyager vers des contrées lointaines et ensoleillées ? Ne pas aller aussi souvent au cinéma, au théatre que vous ne l'auriez voulu ? Ne pas diner chaque soir dans un restaurant? Ne pas porter ni changer de vêtements de marques tous les jours?
Avouons le , ces sacrifices sont minimes au regard de la vie que fut la notre juqu'a ce jour.
Je crois que beaucoup de jeunes sont prêts à faire ces sacrifices, pour un emploi qui puisse leur conférer un sentiment d'utilité,et leur donner un minimum d'indépendance. Mais pourquoi devrait-il le faire à n'importe quel prix?
Si, NOUS ( vous et moi), ne sommes pas prêts à quelques solidarités, je crains que ce qui fût une vie de priviligiés, ne virent rapidement au cauchemard.
Et si les plus nantis, préférent fuir ( Que s'en aillent tous ceux qui ont cette mentalité !), je préfère croire en un avenir plus solidaire avec nos jeunes.
15 jours avant les élections cantonales monsieur le maire n a pas hésité a contacter via facebook la communauté des kitesurfeur de la baie.
ensemble nous allons redinamiser la baie ce sont ces propres mots.
il nous promet un chenal nous autorisant la pratique du kitesurf meme entre le 15 juin et le 15 septembre, alors que depuis des années l arrété municipal nous l interdit sur toute la commune entre 10h et 19h
depuis plus de nouvelles nous attendons donc le 15 juin , nous contactons la police municipale , la mairie etc , personne ne peut repondre et rien n est affiché sur les postes de CRS
il s avere finalement que le kite est bien interdit depuis le 15 juin l ancien arreté restant en vigueur(dixit le service des sports)
ce week end nous avons eu un vent parfois a plus de 40 noeuds en rafale et nous etions donc nombreux a pratiquer le kite en totale illégalité , autrement dit sans assurances meme pour les licensié.
monsieur belliot nous a donc manipulé pour recuperer quelques voix aux élections, c est inadmissible;
demain des journaliste de M6 L EMISSION 66 MINUTES viennent faire un reportage sur le kitesurf a la baule (diffusion le 17 juillet prochain)l occasion enfin de faire bouger les choses
les kitesurfeurs de la région n ont evidement aucunes subventions mais en plus aucun droit de pratiquer leur sports, si un membre de l opposition nous entend qu il prennent contact avec l'association la baule kite pour peut etre nous aider.
nous souhaitons juste pouvoir faire du kite lorsqu il a du vent l'été et qu il n y presque personne sur la plage comme ce week end
a 19h par contre on décole tous en meme temp meme au milieu des serviettes des touristes car c est autorisé, les crs ont fermé le poste et nous n avons aucune zone d attribué pour le décollage et l atterissage.
suite aux dernières annonces du gouvernement de renoncer aux fermetures de classe , qu'en est il à Pornichet ?
Rappel à l'ordre
Dans l'article de ouest-france du 21 juin dernier, "Monsieur Labarrière rappelle qu'en 1961, du temps d'Olivier Guichard, il y avait un budget animation commun pour la plage entre Saint-Nazaire et La Baule. Aujourd'hui, on n'est plus capable de mutualiser un feu d'artifice. »
Ce Monsieur Labarrière devrait vérifier ses connaissances. Monsieur Olivier Guichard a été élu la première fois, Député de la Loire-Atlantique en 1967 et Maire de La Baule, le 21 mars 1971.
Sans connaissance !
Bonne question mais malheureusement, cela n'aura aucun impact sur Pornichet à la rentrée prochaine puisque la promesse électorale du Président vaut pour la rentrée 2012.
En plus, il faut lire entre les lignes de la communication présidentielle. Ces non-fermetures auront lieu malgré une nouvelle purge de 16.000 postes d'enseignants.
Les spécialistes des questions d'Education se demandent si le tour de passe passe ne va pas consister à supprimer encore plus de postes que prévu en collège. Sauf que... les effectifs en collège explosent avec l'arrivée des enfants du "mini-boom" démographique de l'an 2000.
Pour beaucoup, le vrai espoir pour l'avenir de nos enfants est l'éventuelle défaite électorale de Sarkoy en mai 2012...
Ok pour une politique volontariste de construction de logements sociaux et autres, mais pas comme au Pouligou.
Le poulpe, ils sont où vos parking XXL car pour ma part les jours de marchés c'est le b..... pour se garer.
Et au fait, combien de logements sociaux construits sous les 2 mandats du PS.
Cela, il ne faut pas l'oublier.
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