samedi 24 décembre 2011

Dépôt de bilan

Avant l’indigestion de dindes et de marrons, l’heure est au bilan et le fond de l’air est bien sombre. Le belliotisme mène Pornichet dans une dramatique impasse : financière, urbaine, démographique, environnementale, démocratique et sociale. Retour en quelques lettres sur une triste année.

A comme Absents

L’équipe municipale est en crise profonde. Visiblement fatigués de l’autoritarisme de Robert Belliot, les conseillers municipaux de droite disparaissent progressivement. A chaque Conseil Municipal, au moins un quart des élus majoritaires est absent et régulièrement il faut redéployer les délégations au gré des défections et des prises de recul. A l’exception des derniers adorateurs du Kim Jong Il pornichétin, ils sont tous lassés des foucades et des décisions intempestives du Cher Leader. Mais, craignant on ne sait quel châtiment, personne n’ose démissionner de son mandat comme la morale politique l’exigerait. On rêve qu’ils viennent un jour, en séance, lui remettre en bloc leur démission comme pour déboulonner une statue grotesque.

C comme Clientélisme

Erigé en mode de gestion de la commune par Robert Belliot, le clientélisme est un cancer de la Démocratie. Sous prétexte de proximité, l’équipe Belliot rompt avec la neutralité républicaine du garant de l’intérêt général. Vous êtes bien vu et savez courber l’échine, pas de problème, votre association ou petite entreprise aura le droit à de jolis moyens (Sailtica, Hissez Oh, AVF, Conférences de l’hippodrome...). Vous pestez contre un éclairage de stade tardif, un stationnement devant chez vous, un passage trop fréquent devant votre domicile de camions municipaux venant du centre horticole, ne soyez pas inquiet, le maire ou un de ses affidés vous donnera raison, surtout si vous lui donnez quelques gages électoraux. Avec un maire dont la première décision, en 2008, a été de mettre en sens unique l’avenue qui passe devant chez lui pour son petit confort, comment s’étonner que le clientélisme soit un mode de gestion politique de Pornichet ?

D comme Démagogie

Avec Robert Belliot, le port de Pornichet serait tous les jours bouché par une sardine. Le magazine municipal est devenu l’équivalent du Journal Officiel du Parti des Travailleurs nord-coréen. Le dernier numéro, en cours de distribution, et notamment l’argumentaire sur le pseudo referendum, reprend les méthodes des pays non démocratiques : colonnes ouvertes uniquement aux membres du Politburö, disparition de l’opposition, assertions mensongères, absence de toute démonstration pour soutenir des affirmations, réécriture de l’histoire... Tout y passe ! Avec Robert Belliot, la politique, c’est tellement simple. Un problème ? Il n’y est pour rien, tout le malheur vient de (cocher la case de votre choix)  Jacques Lambert, Joël Batteux, David Samzun, le Poulpe ou Pornichet-Infos. Une bonne nouvelle ? C’est grâce à l’action pertinente du Cher Leader (même si tout ou presque était dans les tuyaux et systématiquement dénaturé par ses soins : hippodrome, lotissement du Pouligou, Thalasso des Tourelles, couverture du Ninon Tennis Club, base nautique du port d’échouage, centre de loisirs...).

E comme Emprunt

Emprunt, voir Démagogie. En effet, Robert Belliot ne comprend pas grand-chose aux finances publiques (il suffit de venir en séance budgétaire du Conseil municipal pour mesurer le niveau de la bavure) mais il a bien perçu au moins un aspect : la dette ne se voit pas le temps d’un mandat contrairement à l’augmentation des impôts locaux. Résultat, Robert Belliot se transforme en mineur de fond et chaque année, il creuse plus profondément la dette à coup de 3 à 5 millions d’euros par an (20 à 35 millions de francs « lourds » pour ceux que ces sommes ne permettent plus de mesurer l’importance). Le temps de son mandat, Robert Belliot aura au minimum doublé la dette de la commune au point de faire de Pornichet la commune la plus endettée de Loire-Atlantique par habitant. Les banques ne s’y trompent d’ailleurs plus en refusant d’accorder le montant maximal souhaité par la commune. Merci pour les habitants des 20 prochaines années !

F comme Fiasco

Le Youkounkoun belliotiste s’avère être jour après jour un retentissant fiasco. Si, sur le plan technique, l’hippodrome fonctionne correctement (rappelons que le cahier des charges préparé par le cabinet faisant office d’assistance à la maîtrise d’ouvrage fut rédigé en 2005/06 lors du mandat Lambert), il sonne par contre terriblement creux. 6 mois après l’inauguration fastueuse et dispendieuse, personne n’a vu l’ombre d’un séminaire, d’une stratégie de promotion ou du moindre évènement significatif. Pour faire illusion, Robert Belliot demande à son successeur aux ressources humaines d’Airbus de monter à la hâte un salon de l’emploi, offre le gite et le couvert aux fanfaronnades intéressées de son ami Labarrière, organise ses cérémonies de vœux et retransmet sur écran géant les mièvreries affligeantes des Miss à la sauce TF1-Endemol. Noyé dans le budget de la commune, l’abyssal déficit 2011 sera masqué. On attend avec crainte celui de 2012 qui risque de faire très mal à la société dorénavant gestionnaire de l’équipement mais aussi aux Pornichétins puisque la commune est actionnaire à plus de 80% de cette entreprise. Last but not least, même la fréquentation des courses laisse à désirer avec un chiffre loin des 1.500 entrées payantes en moyenne prévu au business plan de ce équipement.

H comme Honte

Quelle période pathétique avons-nous vécu avec la mise sous tutelle de Pornichet et les arguments irresponsables de Robert Belliot pour justifier son refus du logement social. Comment comprendre un maire qui caricature et rejette le logement social (ah les tours de la Bouletterie qu’il annonçait à Sainte-Marguerite durant la campagne des municipales !) alors que l’essentiel des emplois de sa commune génèrent des salaires bas ou modérés dans un contexte de forte hausse des coûts du logement ? Comment comprendre un maire qui refuse les lois de la République pour satisfaire les penchants les plus égoïstes de son électorat aux tempes grises et aux comptes en banque épais ? Comment comprendre un maire qui préfère faciliter le business des promoteurs en confondant locatif défiscalisé et locatif social ? Comment comprendre un maire qui ose attaquer l’Etat pour excès de pouvoir alors qu’il exprime haut et fort son refus d’appliquer la Loi ?

L comme Laideur

Zébré en plein cœur par une voirie surdimensionnée pour répondre à la frénésie des 4 roues des sixties, Pornichet devait enfin bénéficier d’une refonte des espaces publics depuis le Hecqueux d’un côté, Intermarché de l’autre jusqu’au front de mer. Partage des espaces entre les différents modes de déplacement, structuration des perspectives visuelles par des constructions adaptées, embellissement des espaces publics, refonte du plan de circulation avec ouverture de voies entre le boulevard de Saint-Nazaire et l’avenue de Saint-Sébastien, mise en place progressive d’une voirie cohérente du nord de l’hippodrome aux Redonnées... la réflexion était plus qu’aboutie, sauf que...  Amoureux des parkings, fanatique des barrières forestières, adepte des blocs de pierre comme improbables éléments de mobilier urbain, partisan du vide pelousé... Robert Belliot manque d’une culture urbaine minimale et préfère bricoler des réponses à la petite semaine plutôt que de concevoir avec des spécialistes de l’espace public et des déplacements une démarche phasée, chiffrée et de qualité. Pornichet a aujourd’hui l’accès au centre-ville et le cœur de ville le plus laid de toute la région. Si la baie peut s’enorgueillir de l’énigmatique qualificatif de « plus belle baie du monde », on ne peut que se réjouir que le label « plus laid centre-ville du monde » n’existe pas car le Pornichet belliotisé aurait concouru pour la première place.

P comme Parc

Après la séquence Hippodrome, après la séquence CARENE, nous allons avoir droit à la séquence parc environnemental avec, en Jeanne d’Arc du brassage d’air, Robert Belliot et son parc des énergies renouvelables, des eaux turbides et des espaces vides. D’un côté, Robert Belliot explique au Conseil Municipal de décembre qu’il est temps de faire une pause en terme d’investissement et au même moment la propagande municipale lance sa communication sur le début des travaux du parc mégalo. Ce projet, dépecé au fur et à mesure de l’inflation des coûts et de la disparition de partenaires financiers, va lourdement grever le budget communal et générer des frais de fonctionnement notoirement sous-évalués.  Alors que le centre-ville est en déshérence, le port d’échouage à l’abandon et le remblai ringardisé par celui de Saint-Nazaire, Robert Belliot s’échine dans un projet dispendieux et inutile. Qu’attendent ses colistiers pour siffler la fin de la gabegie ?

R comme République

Dans une société sarkozyste pourrie par le fric, l’individualisme ou la peur de l’autre, la France gaulienne, socialiste, démocrate-chrétienne... se reconnaissait dans des valeurs communes, résumées le plus souvent dans l’expression « valeurs républicaines ». A l’heure du chamboule-tout moral, Robert Belliot a visiblement décidé que ces valeurs n’étaient plus d’actualité. Souverain mépris de l’opposition municipale, refus assumé de respecter les lois de la République, refus de se conformer au verdict électoral avec mise à l’index de ses adversaires politiques, judiciarisation du débat politique, instrumentalisation forcenée de la vie associative locale, clientélisme à tous les niveaux de la gestion communale, politisation des services municipaux, propagande permanente... rien n’échappe à l’exaltation belliotiste. Dans ce contexte, démocrates et républicains vont devoir s’unir pour ériger un cordon sanitaire autour de cet élu aux méthodes incompatibles avec les exigences de notre époque.

Nous aurions pu développer d’autres lettres, par exemple B comme Bérézina pour évoquer l’agitation belliotiste pour sortir de la CARENE, M comme Miss France pour souligner le nouvel axe de la politique culturelle locale, O comme Office du Tourisme pour regretter le peu de considération du travail de qualité mené par des salariés prisonniers d’un bateau ivre, S comme Sécurité pour souligner l’absence de résultat malgré le million d’euros dépensé, T comme Trous pour dénoncer la situation de plus en plus pitoyable et dangereuse de la voirie communale, V comme Vase pour rappeler l’état du port d’échouage pourtant de responsabilité communale... Mais le Poulpe sait être magnanime en ces temps dépressifs et consuméristes... Bonnes fêtes à tous !

15 commentaires:

Lemere a dit…

Vous êtes même très sympa, vous auriez pu regrouper les trois lettres GDC pour Gout de ch...
Quand on voit la photo de l'espace CF sur le site même de la mairie!
Et quand en plus on le décrit sur le même site comme une réussite aux COURBES architecturales, on ne s'étonne plus de rien!
Reste un espoir, un vote massif NON au plebiscite de 2012.
Puisque les élus de la majorité sont trop timorés pour oser dire ses quatre vérités , rappelons leur tout de même qu'ils restent responsables des décisions qu'ils prennent.
Allez, clôturons cette triste année 2011, et espérons en 2012, bonnes fêtes à Tous.

Anonyme a dit…

Dans le S on aurait aussi pu mettre Service Public...comme la gestion de l'eau et de l'assainissement. A la Carene c'est simple et résumé, en 2011:
Montant d'une facture pour une consommation annuelle de 120 m3 :
Eau potable : 164,55 €
Assainissement collectif : 232,26 €
Prélèvement Agence de l'Eau : 60 €
T.V.A. : 25,12 €
Si en 2012 nos rentiers passent à la Carene, pas si sur qu'ils arrivent à décripter les tarifs de la Sepig et de CAP sur plus d'une page !!!
Par contre ils auront peut être besoin d'un conseiller en patrimoine pour payer leurs factures..
Aller joyeux noel et en 2012 VOTEZ ! et VOTEZ BIEN CETTE FOIS !!!

Etienne a dit…

B comme Bord...
C'est quoi ce chantier, je viens de faire une promenade sur la côte du Croisic à Pornichet et il n'y a qu'à Pornichet que la voirie et les trottoirs sont aussi chargés de sable/ Il n'y a même plus les moyens de payer les agents de la propreté ou quoi ! J'ai vu devant moi une dame d'un certain age tomber à vélo parce qu'elle a glissé en freinant sur le sable qui macule la piste cyclable.
c'est vraiment l'incurie à Pornichet !

Anonyme a dit…

exact ! entre les nids de poule , le sable , les aiguilles de pin , nos routes sont dangereuses ! les communaux doivent revenir à leur tache première : le service public et non pas l'entretien de l'hippodrome !

heric pdl a dit…

Cela ne serre à rien de critiquer,le constat et là.La ville de pornichet à d'autres priorités.Maintenant ce sont "les tourelles"et les elections avec Monsieur PRIOU. HERIC PDL

Job a dit…

On peut rajouter à la lette A, Amnésie ; en voici une nouvelle preuve : (Délibération de la CARENE du 14 septembre 2010 : extraits).
Etaient présents :
……….PORNICHET : M. Robert BELLIOT, Mme Catherine GARCON, M. Frédéric TRICHET, Mme Anne-Catherine ROUDEIX, M. Hervé BOSSY……….
Ainsi, la C.A.RE.N.E. doit instaurer une taxe d’habitation communautaire à compter du 1er janvier 2011 pour laquelle elle votera le taux lors du vote du budget 2011.......
Ainsi, pour 2011, il pourrait avoisiner les 7,78%......Après en avoir délibéré, je vous demande, mes Chers Collègues, de bien vouloir :
- créer la taxe d’habitation communautaire à compter de l’exercice 2011,
- adopter une politique d’abattement communautaire telle que présentée ci-avant, à savoir fixer les taux de l’abattement obligatoire pour charges de famille à 10% pour chacune des deux premières personnes à charge et à 15% pour chacune des personnes à partir de la 3ème personne à charge.
Le Président,
Joël BATTEUX
ADOPTE A LA MAJORITE
10 abstentions (élus du parti communiste et républicain)
Dans la pravda municipale, la municipalité s'insurge, contre l'absence d'abattement à la base (CAP Atlantique est à 15%, en réalité à 15 €, ce qui représente un "cadeau" de 1 €).
C'est en 2010, qu'il fallait réagir et ne pas voter la délibération du Président de la CARENE!

Loth a dit…

A la lettre D, pourrait s'ajouter Devin ou P. Dac, grand visionnaire du passé.
Dans les "Izvestia" municipales,il est affirmé que l'une des questions du débat communautaire a trait à la métropole Nantes-Saint-Nazaire, avec un projet de création d'Etablissement Public Foncier, ... proposé par le Conseil Général, et .... financé par une adhésion des intercommunalités et .... une taxe additionnelle aux impôts locaux!
En quelque sorte, les outils du collectivisme foncier et du bolchévisme communautaire, laisse entendre le Grand Vizir de Pornichet....ica (comme la Sailtica!).
Patratas, Cap Atlantique vient de décider (dernière séance publique) d'adhérer à cet EPF !
Du coup, l'intérêt du "débat", selon les "Izvestia", s'effondre.
Au secours, Pierre Dac , reviens vite !: ils sont devenus loufoques, dans le Port .. niché.

Anonyme a dit…

En matière de bilan :
Le Poulpe a plus que raison. Le bilan de robert Belliot et de son équipe est plus que sombre. Il est quasiment Noir.
- Histoire d'en rajouter, à la lettre "C ", il faut rajouter sur la lista "rouge" les boites aux lettres qui sont interdites de publications du type magazine municipal.
-Quant on sort de chez soi, jusqu'à Paris, les remarques sont toutes les mèmes. Ah, Pornichet, on connait, vous faites parler de vous dans les médias...Quelle honte, et surtout, quelle Pub pour notre ville.
- Sur les finances publiques, ils sont de moins en moins nombreux ceux qui qui défendent la gestion financière actuelle, c'est dire l'inquiétude des pornichetins.
Quant à espèrer la démission des élus de l'équipe Belliot, il ne faut pas rèver. Ils sont ligotés.
Par contre, il va ètre tempps de penser à l'avenir, car la succession va ètre dure, et mème plus que dure à gérer.

Lemere a dit…

Bonjour et bonne année 2012 au Poulpe et à ses fidèles lecteurs

A propos de bilan, ceux à venir font encore plus peur, si on en juge de leur simple analyse financière , à la lueur de ce qui fut présenté lors du conseil de décembre .
Vous en retrouverez les éléments sur le site de l'opposition.

A ce propos, serait-il possible pour le poulpe d' obtenir plus de détails, sur les rouages de la comptabilité publique, afin que tout a chacun puisse apréhender ce qui nous attend de 2012 a 2014 , puisqu'il semble que Belliot ait décidé d'obérer les budgets y compris pour cette année électorale de 2014

Sarah a dit…

Je suggère d'ajouter à la lettre F, Foi, comme...mauvaise foi!
M. le Maire s'insurge, dans LB+, contre l'attribution d'un reliquat de subvention, transféré du terrain de foot synthétique à la réhabilitation de la piscine de la Bouletterie(dans un quartier populaire!).
Etait-il au courant, ou D.S. a-t'il encore frappé?
Nenni, car , il suffit de consulter le site officiel de la CARENE, pour constater que cette opération s'est réalisée avec l'accord de M. Le Maire!
EXTRAIT N° 002028 DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DU BUREAU COMMUNAUTAIRE
L'an deux mille onze, le vingt quatre mai à 17 heures 00, le Bureau Communautaire de
la Communauté d'Agglomération de la Région Nazairienne et de l'Estuaire s'est réuni
sous la présidence de M. Olivier RICHARD, 1er Vice-Président.
Etaient présents :
…….PORNICHET : M. Robert BELLIOT
M. Olivier RICHARD, 1er Vice-Président, lit l’exposé suivant :
Mes Chers Collègues,
Nous arrivons au terme de notre contrat de territoire 2009-2011, dont les opérations inscrites doivent
démarrer physiquement impérativement avant la fin de l’année et pour lesquelles les derniers dossiers de
demande de subvention seront présentés au plus tard en septembre 2011.
Notre collectivité a la possibilité d’apporter des modifications à la programmation initiale dès lors que celles-ci
respectent l’équilibre général de la maquette financière par chapitre.
Il s’avère que certaines opérations ont du être reportées et ont permis ainsi d’abonder des opérations déjà
inscrites ou ont permis la programmation de nouvelles actions. Cela concerne les domaines d’interventions
suivants :
-
Pour le chapitre « sport », il s’agit de la sous consommation de la subvention attribuée au terrain
de foot en gazon synthétique, réalisé par la ville de Pornichet. Le reliquat de crédit de 122 729 € sera
affecté à la réhabilitation de la piscine de la Bouletterie à Saint Nazaire (seconde tranche) pour un
montant de travaux de 164 437€ HT.
Après en avoir délibéré, je vous demande, mes Chers Collègues, de bien vouloir approuver cette nouvelle
programmation du Contrat de territoire 2009 – 2011.
Le Président,
Joël BATTEUX
ADOPTE A L’UNANIMITE
No comment

Anonyme a dit…

et on va en découvrir combien des comme ça ? plus ça va plus la liste s'allonge ....

Lemere a dit…

Le commentaire de Sarah montre bien que soit Beliot signe et vote n'importe quoi, soit qu'il n' a rien compris a la solidarité au sein d'une intercommunalités .
Et en plus il pense que cela ne se saura pas, à la bêtise il insulte notre intellect !

Rachel a dit…

Pourrait-on rajouter à la lettre E, Enfumeur,alors que M. Le Maire, dans LB+, se plaint que la CARENE ne réalisera pas, en desserte d'assainissement collectif, ce que , feu, le SICAPG, avait promis de construire.Alors, pourquoi M.le Maire a-t'il voté le programme d'extension 2012-2017? (cf. extrait de délibération):
EXTRAIT N° 001670 DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE
L'an deux mille dix, le vingt deux juin à 19 heures 00, le Conseil Communautaire de la
Communauté d'Agglomération de la Région Nazairienne et de l'Estuaire s'est réuni sous
la présidence de M. Joël BATTEUX, Président.
Etaient présents :
…….PORNICHET : M. Robert BELLIOT, Mme Catherine GARCON, M. Frédéric TRICHET, Mme Anne
Catherine ROUDEIX, M. Hervé BOSSY……….
Commission : Grands services publics
Objet : Assainissement - Adoption d’un programme d’extension du réseau public de collecte des eaux usées
pour la période 2012-2017
M. Joël BATTEUX, Président, lit l’exposé suivant :
Mes Chers Collègues,
La CARENE a lancé en 2006 le diagnostic des installations d’assainissement non collectif sur l’ensemble de son
territoire. A l’issue de cette démarche, la CARENE a également fait réaliser une étude de faisabilité pour la
desserte en assainissement collectif (ou semi collectif) des principaux secteurs non desservis à ce jour.
Ainsi, en intégrant les résultats du diagnostic des installations individuelles existantes et les éléments techniques
et économiques de l’étude de faisabilité, un programme d’extension du réseau collectif d’eaux usées est proposé,
sur la base d’une enveloppe budgétaire d’environ 15 millions d’euros, répartie sur la période 2012- 2017.
……………….Le résultat de cette programmation est présenté dans les plans joints en annexe.
La réalisation de ces travaux sera échelonnée entre 2012 et 2017, en sachant que certaines opérations pourront
être anticipées en fonction de la réalisation des conduites de transfert ou de rejet de la nouvelle station
d’épuration des Ecossiernes à Saint-Nazaire.
……………….Après en avoir délibéré, je vous demande, mes Chers Collègues, d’approuver le programme des extensions de réseaux de collecte des eaux usées, tel que défini en annexe.
Le Président,
Joël BATTEUX
ADOPTE A L’UNANIMITE

Rousse a dit…

Sarah, il faut demander un droit de réponse à LB+.
Je ne suis pas personnellement opposée au retour vers Cap atlantique mais avec cette accumulation de mensonges et de contre vérités, je vais voter NON;
NON à Belliot qui nous prends pour des idiots.

Anonyme a dit…

Traiter R. BELLIOT de Kim Jong Il n'est pas acceptable. Rapprocher le comportement d'un maire à celui du responsable du génocide de plusieurs centaines de milliers de nord-coréens est démesuré. Vous êtes loin de ce qu'est censé être le Poulpe. La liberté d'expression vous permet de critiquer la politique municipale, mais en aucun cas d'injurier l'homme qui la décide !

Dans le paragraphe où vous comparez Pornichet-Magazine au journal des travailleurs sud-coréens, vous dites que l'argumentaire du referendum reprend les méthodes des pays non démocratiques . Même si les raisons qui ont poussé R. BELLIOT à organiser ce referendum sont discutables, cette consultation reste un vrai signe de démocratie et M LAMBERT aurait été bien inspiré d'en faire autant avant de décider en catimini d'associer Pornichet à la Carene

Je ne sais pas qui vous êtes (peut-être très proche de la municipalité précédente ?), mais en tous cas, vos excès nuisent à votre cause. Vous devriez prendre en exemple le Canard Enchaîné !

Pour cîter Talleyrand : "Tout ce qui est excessif est insignifiant"

Ne sachant pas qui vous êtes, je vais moi aussi rester anonyme. Cependant, je suis impatient de savoir si cette fois-ci, vous ne censurerez pas ce commentaire!