mardi 12 avril 2011

Arborical Born Killer


A Pornichet, semaine nationale du développement durable rime avec massacre à la tronçonneuse. Le sécateur-maire a encore frappé en détruisant à la hâte un linéaire de 200 mètres de grands peupliers, en entrée de ville, entre le rond-point de l'hippodrome et la tribune payée par les contribuables pornichétins. Peupliers O – Pylônes électriques 15. Sale défaite pour l'Agenda 21 !

On ne sait pas si l'air de la Marine influence l'inconscient de nos élus UMP / Divers Droite, mais le côté coupe à la skin head de l'entrée de Pornichet fait froid dans le dos. Mois après mois, Hilti Belliot coupe, abat, tronçonne, débite, mutile, massacre à tout va. Lui, si prompt à communiquer sur ses moindres faits et gestes, a oublié d'informer la population de ce nouvel épisode de son habituelle politique : « faîtes ce que je dis, mais ne dîtes pas ce que je fais ».

Politique de l'arbre

« Allo, Anne-Cat', c'est Bob, euh euh, je voulais juste te dire que j'ai pensé que pour mieux voir l'hippodrome et ses pylônes, euh, euh, une cinquantaine d'arbres de 30 ans d'âge devait être tronçonnée. Euh, euh, je viens d'en donner l'ordre. Bon, euh euh, pour ta politique de l'arbre, euh, il va falloir te débrouiller... ». L'histoire ne dit pas si Madame l'adjointe au développement durable, aux espaces verts et à l'Agenda 21 a raccroché brutalement avant de se défouler sur un pauvre bonsaï sans défense...

L'égérie prosimarienne méditera le numéro de l'été 2009 du magazine de propagande municipal qui titrait « l'arbre au cœur ». Il expliquait qu'une « véritable politique de l'arbre est née du projet de PLU [et que] le boisement est indissociable du patrimoine bâti et de la qualité des espaces ». C'est vrai qu'un boulevard de Saint-Nazaire bien dégagé sur les côtés pour mieux voir une saignée de sable fibré de 40 m de large cela « qualifie les espaces »...

Elle pourra également se plonger à la page 17 du numéro de l'automne 2010 de la Pravda locale qui titre sur « l'arbre au cœur de Pornichet ». Le chapeau précisait que « élément essentiel de l'identité paysagère du territoire pornichétin, l'arbre […] occupe une place centrale dans la politique environnementale de la Ville ». Mieux encore, l'article indique que « la Ville souhaite sensibiliser la population sur la préservation des arbres, notamment de haute tige. Un arbre est dit de haute tige quand son tronc mesure plus de 1m60 de hauteur. Ce sont des arbres qui structurent le paysage, destinés à passer au-dessus du bâti ». Savoureux n'est-il pas ?

Quitte à avaler son prospectus de l'Agenda 21, Madame Roudeix pourrait peut-être émettre son sentiment, voire apporter ses explications. Comment justifier de dépenser 7 M€ pour un parc paysager des jardins plats et des eaux turbides, invisible depuis les principales voiries communales, enkysté qu'il sera au cœur de pistes aux virages relevés, alors qu'en même temps des dizaines de beaux sujets en bon état phytosanitaire finissent en pâte à papier ?

L'expression populaire prétend que souvent l'arbre cache la forêt. A Pornichet, l'arbre stylisé de l'Agenda 21 ne cache plus la « forêt » de peupliers abattus.

Récidivistes

Black Bobby et Decker Anne Cat' n'en sont pas à leur premier coup de tronçonneuse. Arbres centenaires du boulevard de la République pour faire pousser des parcmètres, haies bocagères le long du boulevard du Baulois pour mieux profiter de la laideur du nouvel Intermarché, pins de l'avenue de Bonne-Source pour favoriser des promoteurs de logements pour résidents secondaires, chênes centenaires de (l'ex) Bois de la Grée pour sur-sécuriser la chère (très chère) piste de France Galop sur l'hippodrome... tous ont succombé sous les assauts obstinés et irresponsables de l'équipe Belliot. A Pornichet, l'arbre plie puis rompt.

Pour emm... l'habitant qui souhaite élaguer un arbre sur sa propriété privée, il faut montrer main verte dans les services du sécateur-maire. Par contre, dès que ce dernier décide de convoquer tronçonneuses et bulldozers pour faire place nette, tout devient possible. C'est avec de telles pratiques, où les paroles sont contraires aux actes, que les élus font le lit de la famille Le Pen. A croire que c'est l'objectif de la municipalité pornichétine tant elle s'ingénie à faire le contraire de ce qu'elle exige des citoyens.

Nul doute que les si vigilants adhérents de Prosimar, Pornichet Environnement Patrimoine et autre Association d'Ermur vont faire entendre leur voix ces prochains jours pour dénoncer la folie destructrice du maire. De même, il sera intéressant de connaître le sentiment du comité national du fleurissement, qui octroie, depuis plus d'une décennie, son Grand Prix national à notre commune. Si cet organisme veut conserver un peu de crédit, il va difficilement pouvoir fermer les yeux sur la nature des agissements du maire tronçonneur.

Dans certains quartiers de Pornichet, des mesures prophylactiques sont prises pour lutter contre les termites et autres capricornes. Espérons qu'en 2014, les électeurs s'attaqueront, sans produit chimique, naturellement, mais avec leurs suffrages, à un maire xylophage.

25 commentaires:

Assez a dit…

Quelle tristesse ,quelle mouche les pique?

Patrice a dit…

Trop fort Bobby ! Il a même réussi à réveiller l'APEP de Mme Legeais. A trop prendre des vessies pour des lanternes, cette dame semble enfin comprendre que Belliot se fout d'elle joyeusement depuis le début. Sa naïveté n'excuse pas ses égarements.

Anonyme a dit…

Peut-être Bobby a-t'il besoin de bois pour rédiger les cheques du même nom ? et si tout n'est pas utilisé, j'en prendrai bien un peu pour mes impots ....

Anonyme a dit…

il est vrai que entre les anciens établissements nautiques , l'ex station essence , et maintenant ces arbres qui disparaissent ( sans que quiconque soit prévenus , à noter que la presse est bien silencieuse ...) ça commence à faire BEAUCOUP TROP !!!
bref on se demande à quoi va ressembler l'entrée de notre ville .

Dites 33 ! a dit…

Lors de l'assemblée générale des plaisanciers du port d'échouage, nous avons assisté à un récital digne des plus grands airs diffusés par la voix de son maître.
L'inénarrable conseiller subdélégué aux Ports et à l'International dont on se demande encore ce que ces termes recouvrent, nous a gratifié d'un discours encore plus vaseux que le port d'échouage.
Son argumentation ne dépasse pas depuis les débuts, un discours de CM2 et ne tient qu'en une phrase : sujet verbe complément : "je ne fais rien".
Si la phrase est grammaticalement correcte, elle est un peu courte mais révélatrice de l'indigence du programme du Maire.
Mais pouvons-nous exiger d'esprits aussi fragilisés par tant de défaites électorales, autre chose qu'une piteuse prestation.
Messieurs de la Mairie, il est temps d'aller consulter!

Anonyme a dit…

Il est vrai que la presse est bien discrète sur pornichet depuis quelques temps, mais étant proches de certains journalistes et correspondants, je peux vous dire qu'ils en ont assez de recevoir 50 communiqués de presse de la part de la Mairie chaque jour souvent en contradiction les uns avec les autres ou envoyés en multiples exemplaires ... Il est vrai que les services de la communication de la ville ont été renforcés mais le niveau n'est pas là : entre fautes d'orthographes qu'un élève de cm2 ne feraient pas et arguments contradictoires ... La presse donc décide de s'abstenir de participer à la propagande organisée de l'Hôtel de ville ...

Le Poids des Mots a dit…

Désormais, la devise qui pourrait s'appliquer à notre ville serait : "des Notables, du sexe et le pognon"!
C'est du moins, ce que prônait devant une assistance fournie, un écrivain de renom, du moins, dans la rue de son domicile.
Cette notoriété soudaine a attiré l'attention du Maire de Pornichet qui l'a pris non seulement pour l'assister dans sa dernière campagne électorale, pour rédiger des professions de foi imbuvables et distribuer des tracts dont personne ne cachait d'où venait le tirage.
Ce célèbre petit chroniqueur dans un journal baulois,devrait se rappeler de la devise qu'il employait alors : "Des notables, du sexe et le pognon". Évidemment, il a, entre les personnes qu'ils l'entourent, un exemple de ce qu'il dit.
Encore Bravo de nous avoir ouvert les yeux!

selgna a dit…

Pour ce qui est du bd de st Nazaire (D 92),comment une ville s'attribuent 2 voies de circulations, le propriétaire des lieux doit étre le C G 44.Cette route va poser pas mal de problémes, vu que tout les renforts médicaux et pompiers viennent par ce bd de st Nazaire.Bouchons et bloquages de circulation,il faudra pas d'interventions urgentes cet été.Attention la justice aura dans le collimateur le responsable de la sécurité ainsi que du maire si malheur arrivait à cause de la circulation et des embouteillages,sans échapatoires bd de st nazaire.ts

Stop! a dit…

Comme dirait Mr Gout, adjoint à l'urbanisme "simple débroussaillage". Pornichétins, allez juger du massacre!

Anonyme a dit…

PO aujourd'hui : inauguration de l'hippodrome le 1er Juillet le parc paysager et le boulevard de Saint Nazaire attendront .... je vous laisse imaginer le b.... cet été mais cela ne fera que la 3eme année que Pornichet donnera une triste image

Phénix a dit…

Encore une fois votre opposition systématique vous discrédite.
Je suis pas un supporter de M. Belliot mais sur ce coup je suis persuadé qu'il y avait un sens à couper ces arbres.
On se construit pas un avenir sans casser pour mieux rebâtir.
D'ailleurs il y a une pancarte près de l'hippodrome qui annonce que 25 arbres seront replantés à l'automne

Anonyme a dit…

QUID ONE
Entrée de ville:
5 semaines de travaux, Bd de saint Nazaire pour, soi-disant "améliorer" une entrée de ville dans un état de délabrement avançé depuis de nombreux mois.
Mais, "promis juré", les touristes qui vont venir l'été prochain découvrir notre belle région vont ètre accueillis dans un cadre "ydillique". Sauf que "les povres", ils risquent fort d'ètre déçus.
Que vont-ils voir....sauf miracle ?
A ma droite:
Des tas de terre, des engins de chantier etc...
Avec beaucoup d'imagination, on peut y voir un parc paysager virtuel ( c'est la mode)
Un peu plus loin, un chantier, avec ses baraques traditionnelles, des pylones métalliques, et aussi des souches d'arbres, rien que des souches. Pour la verdure, il faudra encore attendre.Pour l'instant elle a disparu.
A ma gauche :
Un rond point sans relief qui cache mal ce que recèle son sous-sol ( des pompes) sans doute indispensables, mais particulièrement mal plaçées.
A suivre, un espace libre, soi-disant une ancienne station service dépolluée- rassurez-vous (cap 21 oblige). Quant à l'hotel annoncé, il faudra sans doute attendre. A moins que ?
Un peu plus loin, quelques quelques masses vert sombre dont l'aspect extérieur est loin de faire rèver. Ce sont, en fait, des courts de tennis couverts. Désolés, mais ON n'a pas trouvé d'autres endroits pour les implanter
Quand au reste du paysage, c'est toujours le mème décor aussi "tristounet"
Peut-ètre, que l'année prochaine c sera mieuxMais au rythme où vont les choses....rien n'est moins sur
Pour voir enfin quelques arbres, il faudra attendre encore plus longtemps.
Mon "povre" monsieur, la nature à ses rythmes...Il n'y avait pas qu'à...

Qu
e vont-ils voir, sauf miracle...

ça suffit a dit…

Enième massacre énvironnemntal? Réponse: énième panneau de propagande fleurissant au bord de l'hippodrome...pour annoncer une future plantation d'aulnes! Coûts économique et surtout écologique des abattages successifs de tous les arbres qui ornaient le lieu ??? Coût des nouvelles plantations ??? Coût de la propagande incessante ??? (comme si le bourrage de crâne tenait lieu d'information)

faroni a dit…

P... vous n'avez rien de mieux à faire que de nous parler d'une poignée de peupliers malades ?
La valeur botanique de ces arbres est bien limitée, surtout à plus de 30 ans. Si ils mettent des aulnes à la place, on n'y perdra pas.

Anonyme a dit…

Une question: Comment aurait fait votre bien aimé ancien maire pour réaliser son projet hippocampe?
Il aurait bien fallu couper quelques arbres et faire le chantier avec tous ses inconvénients.
Je suis tout à fait d'accord avec vous sur la pratique de l'équipe municipale et l'incompétence des adjoints mais réfléchissez un peu avant de vous lancer dans diatribes...

pa a dit…

Cet abattage volontaire et murement réfléchi, c'est de dégager la vue pour admirer l'hypodrome et ses tribunes.Avec le toler général d'autres plantations sont prévues.

ASSEZ a dit…

A P.A

Si je comprend bien ce que vous dites ,à l'origine, le remplacement des arbres abattus n'était pas prévu ?

Donc en plus de la bêtise, on ajouterait le mensonge et la gabjie.

Quelqu'un est-il assez pointu en sylviculture pour confirmer, que contrairement à ce que dit la mairie , ces peupliers pouvaient fort bien rester quelques années de plus ?

P4 a dit…

Voir par exemple le site http://www.lesarbres.fr/peuplier.html Durée de vie d'un peuplier d'Italie (Je ne suis pas allé vérifier avant l'abattage mais ce sont les + courants par ici): 150 à 400 ans. D'autres sites annoncent de 300 à 400 ans. On avait encore le temps!!!

allingua a dit…

renseignements pris aux services techniques : ces arbres (leurs racines) obstruaient en grande partie la conduite d'eau pluviale.
C'est pour cela que les souches sont encore là car elles ne peuvent être enlevées sans arracher la conduite. Elles seront enlevées en même temps qu'il sera procédé au remplacement de la conduite.
Toute cette polémique pour ça...

jobertho44@orange .fr a dit…

le Terrien a dit:
C'est bien connu, les peupliers ont des racines, et des radicelles qui recherchent les terrains humides pour "survivre". Mais, à ma connaissance, les aulnes ont- eux aussi- des besoins de terrains humides.
Alors, j'aimerais qu'on m'explique la différence.
L'explication est claire :
A l'Ouest, ON préconise un environnement végétal à outrance.
Au Nord, un décor métallique et froid.
Heureusement qu'il nous reste encore quelques chemins creux et ombragés, comme le chemin de Massuet. Mais, pour combien de temps encore ???

Attention, Chien méchant ! a dit…

Valse hésitation!

Lus dans l'écho de la presqu'ile de ce vendredi 22 avril, les nouvelles brèves grains de sel.
Le Maire de Pornichet suivant sa ligne droite politique serait tenté par un rapprochement avec le Nouveau Centre emmené par le Maire de Saint Sébastien sur Loire, le bien aimé Guerriau.
Cela nous fait penser à un adage latin : "Asinus Asinum fricat". Tous à vos dictionnaires !
Tout ceci sous le regard désabusé de l'appareil UMP pour qui, la sécession de Belliot ne serait que passagère au regard de l'enjeu des sénatoriales de septembre prochain. Une quarantaine de voix est en jeu pour que certains puissent être assurés d'un fauteuil confortable au Palais du Luxembourg où ils pourront tout à loisirs, méditer sur la phrase : "Savoir ne rien faire sans se faire remarquer".
Voilà l'UMP bien embarrassée alors qu'on peut guillotiner sans frais, une douzaine de militants jugés hérétiques.

"Deux poids, deux mesures", c'est la nouvelle devise de l'UMP. Après les malheureuses cantonales pour le parti présidentiel mais néanmoins toujours aussi peu populaire!
Décidément, certains d'entre eux trouvent une certaine satisfaction à recevoir des coups au derrière.
Eh bien qu'ils continuent à être satisfaits.
Selon des indiscrétions, le Maire de Pornichet continuera jusqu'aux législatives prochaines, à leur mordre les mollets.

Assez a dit…

A allingua

Vous semblez être au fait de la technique , donc certainement proche de la municipalité .
Par conséquent pourriez vous demander a cette dernière de publier les rapports des experts qui ont conduit a prendre cette décision.
En effet la conduite en question a du faire l'objet de visite endoscopique pour pouvoir en déduire qu'elle était en voie d'obturation.
Et question subsidiaire, si elle doit être remplacée qu'est-ce qui empêchait de conserver les arbres jusqu'au moins le remplacement, il devait être possible de conserver alors les arbres?

A vous lire, mais surtout avoir sur cette affaire une vraie et totale transparence de la mairie, et des réponses a nos questions. Sans quoi, le doute subsistera et profitera a l'opposition, qui ne faisant que constater quelque chose de tangible ne peut etre mise en cause.

P4 a dit…

L'argumentaire d'Allingua me semble un peu facile et fallacieux.
1°) Si le réseau d'eau pluviale a été bouché par les racines c'est qu'il était mal fait. Les racines ne traversent pas les parois étanches.
2°) Abattre les peupliers ne résout rien. Ce qui est bouché restera bouché.
3°) Refaire correctement un tel réseau ne nécessite pas l'abattage d'arbres (sauf si plantés vraiment dessus). Un peuplier survit à quelques racines cassées. Et au besoin, s'il est trop fragilisé, un peuplier s'étête très bien.
4°) Les aulnes, comme les peupliers, aiment l'humidité et font des racines. Recommencera-t-on dans 30 ans? C'est peut-être une façon d'assurer l'emploi de nos enfants ou petits-enfants...

Thierry a dit…

Je ne suis pas le roi des tuyaux (percés ou non) mais y'a un truc qui me chiffonne dans cette histoire : qui a vu un réseau d'eau pluviale en limite de l'hippodrome ?
Vu la flotte qui stagnait entre les guichets et la tribune, j'ai comme un doute. En plus, j'ai trainé sur le secteur quand la CARENE a passé un gros tuyau pour les eaux usées vers leur nouvelle station d'épuration. Leur grosse canalisation était en limite de l'hippodrome et de la route et lorsque les tranchées étaient ouvertes, je n'ai pas vu de trace d'un tuayu d'eau pluviale.
Cette histoire d'eau pluviale est d'autant plus étrange que généralement l'eau pluviale s'écoule en gravitaire, du haut vers le bas, donc du coin pistes/tribunes vers l'étier au milieu des pistes. Pour quoi un réseau d'eau pluviale aurait été nécessaire entre la route et les pistes. Si un réseau existe du côté de la route, il serait plus logiquement côté habitations/tennis.
Bref çà sent l'embrouille cette histoire.
En tout cas merci Le Poulpe d'avoir sorti cette affaire car la presse locale (papier et Net) est étrangement silencieuse (achetée à coup de futures pubs pour les courses ?). Double merci en fait car grâce à votre article, Belliot a du s'engager à la hate à replanter quelques arbres.
Au fait, quelqu'un a des nouvelles de Roudeix ? (humour)

allingua a dit…

Ya ka regarder, on les voit les tuyaux. Ils ne sont pas jeunes.